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Le Chat Noir
Paris, 2023.
Il y a 142 ans, ouvrait le célèbre cabaret Le Chat Noir.
Incarnant la Bohème, l’établissement présentait des artistes et poètes célèbres comme miséreux·euses, dans l’insouciance d’une ambiance légère et feutrée. Après la mort de son fondateur, le lieu est racheté et sombre dans l’oubli. Plus d’un siècle plus tard, un couple richissime décide de recréer le Chat Noir, fidèle à l’atmosphère de son passé mais pensé pour les artistes et les client·e·s du XXIème siècle.En savoir +
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3 participants
Event crossforum - Introduction
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Yve van Hecke
Invité
Anonymous
Yve van Hecke
# par Yve van Hecke Ven 18 Fév 2022, 15:36


Univers de base: VM (magica)
Espèce :Sorcier
Age : 20 ans
Nationalité : Flamand
Travail: étudiant en technologie magique
Particularité(s) : Dysplasie de la hanche, Yve utilise une canne pour soulager sa marche.
Avatar : Viktor - Arcane (LoL)

Caractère :
▬ Faux calme ▬ Grinçant ▬ Rancunier ▬ Passionné ▬ Attentionné



Ah. Yve perdit légèrement l'équilibre, et il appuya de tout son poids sur sa canne quand le vieux s'échappa. Forcément. Les vieux, c'était ses ennemis naturels ; il se battait avec eux pour une place assise dans le bus. Ils n'imaginaient pas qu'on puisse avoir plus de difficultés à se déplacer qu'eux, alors qu'on semblait avoir vingt ans. Les vieux, ses ennemis naturels. Yve n'avait pas conscience qu'il leur ressemblait déjà. Mais ce n'était pas le sujet. Son esprit fatigué après cette nuit presque blanche, il observait le vieux comme si celui-ci allait lui révéler la vérité absolue. Mais non. Il était juste vieux.

« Votre tasse de thé ? Souffla le jeune homme.  Ah. Ne vous inquiétez pas, nous allons la retrouver. »

Il faisait semblant. Après tout, si l'autre était vieux, il était forcément sénile. Sourire en coin qui se voulait bienveillant ; Yve avait conscience des normes sociales. Il savait s'y plier, mais cela dépendait souvent de son bon vouloir. La situation le déroutait quelque peu, alors il acceptait de se montrer affable.

Yve alla reprendre la parole, mais un autre énergumène rentra en jeu. Ses épaules s'affaissèrent, tandis que l'autre parlait de coupe de champagne. Ah oui. Se présenter. Roméo, quel drôle de nom — les français et leurs côtés BCBG. Malgré tout, Roméo lui tira une tentative de sourire poli.

« Paris ? Mais quelle drôle d'idée. »

Paris ? Non. Yve ne se rappelait pas d'avoir essayé un sort de téléportation - ses tentatives précédentes l'avaient fait vomir —, de même qu'il ne se rappelait pas de Ah. Oui. Non. Non. Il n'aimait pas les théâtres. Hors de question.

Son esprit aurait tourné en boucle sur ce coup de destin et au moral. Si son regard n'avait pas croisé un visage connu — enfin ! —, le jeune homme poussa Roméo et le vieux. Il tenta de se déplacer comme il le pouvait vers Elizabeth. Et sur son visage, enfin, l'on pouvait y voir une expression sincère. Sourire rassuré, désolé un peu que la jeune fille se retrouve dans une situation pareille. On le poussa. Yve s'arrêta, et il grogna.

Froncement de sourcils.

L'esprit pragmatique d'Yve n'aimait pas les sentiments. Et il ne pouvait rien y faire lorsqu'il n'en comprenait pas la source. Cela envahissait désagréablement sa poitrine, un peu de la même manière que les valides qui lui disaient qu'il avait beaucoup de courage de vivre avec sa canne au quotidien. L'émotion évolua, et il crut alors que c'était dû à l'absence de ses antis-douleurs. Espacés soigneusement de quatre heures. Mais dans les moments terribles, il pouvait en prendre deux d'un coup.

Le jeune homme, malingre, se tint la tête. Ah. C'était sa hanche. Oui. Il cherchait une explication rationnelle, et son corps, usé depuis l'enfance par ses différents traitements, lui indiquait l'inverse de ce qu'il se passait réellement. Il se tint un instant à Roméo, d'une poigne étonnamment forte pour quelqu'un de si rachitique. Il se redressa alors, appuyé de tout son poids sur la canne.

« Vous pensez qu'il y a des places où s'asseoir derrière le rideau ? »

Parce que cela lui semblait logique de s'y diriger.

Résu-Mais:
Meryl Reyes
Invité
Anonymous
Meryl Reyes
# par Meryl Reyes Ven 18 Fév 2022, 16:16
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Age : quarante-deux ans.
Nationalité : américaine bénéficiant d’un visa de travail.
Travail : vétéran de l’us air force + co-gérante d’une épicerie modeste.
Particularité(s) : amputée des deux jambes sous le genou mais les prothèses semblent si réalistes qu’on ne s’en rend compte que lorsqu’on s’approche trop près de ses jambes plastiques.
Avatar : nico robin + one piece.

Caractère :
▬ amicale ▬ maternelle ▬ taquine ▬ discrète sur sa vie personnelle ▬ égoïste ▬ râleuse ▬ méfiante

Autre :
divorcée ▬ un peu frivole ▬ Un accident en avion l'a privée de ses jambes



Il y a cette fille qui l’interpelle. Ç’aurait pu être anodin, si seulement elle n’avait pas prononcé son nom de mariée, ce nom qu’elle a oublié depuis si longtemps maintenant. Ça fait vraiment longtemps, si longtemps que cette jeune fille n’était qu’une enfant lorsque Meryl portait toujours ce nom.
Elle n’a aucun souvenir de ce visage.
Il semble étrangement familier pourtant—
comme si elle l’avait déjà rencontré par le passé mais c’est si flou, comme un mot qui reste sur le bout de la langue, que Meryl se demande si elle la connaît réellement.

Il y a comme une impression de déjà-vu lorsqu’elle la regarde.
Un sentiment de malaise, aussi. Parce que, si elle est sûre de ne pas la connaître, l’inverse n’est peut-être pas vrai. Après tout, pour l’appeler madame Gordon, il faut bien l’avoir connue à un moment ou à un autre. Et Meryl fronce les sourcils, n’arrive pas à détacher ses yeux de cette fille, elle voit le bout de bois dans sa main et
⠀⠀⠀ça aussi lui semble familier ?

Alors elle se rapproche, elle se penche vers la fille. « Comment tu connais mon nom ? On se connaît ? » qu’elle demande, un peu comme un piège parce qu’elle dit son nom alors que ce n’est plus réellement le sien.

Elle veut juste savoir.
Est-ce que ça ne corrobore pas cette idée que Meryl est simplement en train de sombrer petit à petit dans un trop long coma et que ce rêve est jonché de petits rappels à sa vie ? Une façon bien étrange de voir sa vie défiler devant ses yeux alors que la mort nous attend.

Le malaise s’intensifie, Meryl a la nausée, l’angoisse qui grignote peu à peu. Elle tâche de ne pas perdre ses moyens pour autant, de penser rationnellement, de se dire que ses rêves sont étranges récemment et que ce ne serait pas étonnant que c’en soit un, ou alors ce n’est qu’un bad-trip parce qu’elle a encore un peu trop bu— mais ça semble trop réel.
Trop vrai.
La soudaine migraine l’empêche de réfléchir.

Elle se sent prise au piège, comme entravée autant dans ses mouvements que ses pensées lorsqu’elle regarde le rideau et qu’elle y semble étrangement attirée alors que pourtant— au fond, elle n’a pas vraiment envie d’y aller. Comme si ce n’était pas sa propre pensée.

Confuse, elle se tourne de nouveau vers la fille. « C’est quoi, dans ta main ? »

Tout ça n’annonce vraiment rien de bon.


•••

résumé ─ meryl est très perturbée par elizabeth, puisqu'elle l'appelle par son nom de mariée, or elle est divorcée depuis 7 ans. intriguée, meryl décide de lui demander comment elle connaît ce nom et surtout si elles se connaissent car meryl a une sensation familière en voyant elizabeth. meryl étant très rationnelle et voulant trouver une explication "logique" à tout ça (pensant toujours que peut-être c'est un fever dream alors qu'elle est en train de mourir), elle souffre de nausées et de migraines mais tente de garder la tête haute. finalement, elle demande à elizabeth ce qu'elle a dans la main.
Lucian Hill
Invité
Anonymous
Lucian Hill
# par Lucian Hill Ven 18 Fév 2022, 22:04
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Univers de base:  Via Fabularis
Age : Environ 2 000 ans
Nationalité : Française
Travail : Patron véreux du Label "Noir"
Particularité(s) : Le Diable en personne, et les pouvoirs qui vont avec
Avatar : Balord - Demon Slayer

Caractère :
▬ Tyrannique ▬ Amoral ▬ Triste ▬ Protecteur

Autre : C'est un bâtard.


Être un mythe apprenait à prendre les choses beaucoup plus au premier degrés que la moyenne.
Quand Nietzsche et son « Dieu est mort » étaient cités un peu trop souvent, vous commenciez à vous inquiéter, quand quelqu'un ouvrait un blog tumblr pour  prouver que Lucifer avait des Daddy Issues, vous faisiez une petite rétrospective de votre vie intime et de vos liens paternels avec un verre de Bourbon le soir même.
Quand au moment pile où le calendrier passait à l'année suivante, vous passiez de votre lit, susurrant une bonne année à l'amour de votre vie, au rien, au noir ultime, au néant, vous vous disiez juste qu'un sursaut de ferveur religieuse avait amené le jugement dernier un peu plus tôt que prévu.

***

Il avait commencé par se dire qu'il resterait en retrait, appuyé contre un des murs du théâtre et laisserait les autres faire, parce qu'après tout que les autres étaient là pour ça. Rien à voir avec le fait qu'il avait été éjecté ici avec juste un caleçon imbibé,  des cheveux en bordel et une trace de salive pas à lui sur la joue, et qu'il serait encore dans cette état maintenant si un gars dans la foule n'avait pas eu pitié de lui en lui passant un sweat qu'il c'était dépêché d'enfiler.
Mais finalement, dépendre des autres était pire que se balader presque nue dans la pièce pour essayer de comprendre ce qu'il se passait : la plus part des gens qu'il voyait d'où il était semblaient être restés bloqué sur la silhouette sombre un peu plus tôt – qui n'étais donc pas une hallucination personnelle...

Avec un soupir irrité, les mains dans les poches de « son » sweat, il commença à marcher instinctivement vers la scène, cherchant du regard quelqu'un qui connaissait, cherchant dans sa mémoire un mythe en lien avec le passage à la nouvelle, avec un théâtre abandonné, quelque chose...

Le plus étrange c'était cette silhouette. Un changelin ? Un fantôme ? Une illusion ? Et le théâtre, son repère ?

La poussière collait sous ses pieds, le parquet du théâtre grinçait légèrement, les gens s'agitaient autour de lui, c'était une question de minutes avant qu'il ne finisse avec quelque chose plantés sous le pied ou une semelle l'écrasant, alors il alla rapidement s'asseoir sur le bord de la scène,  balançant ses jambes dans le vide alors qu'il continuait de chercher un visage familier dans la foule.

Quand il vit une tête rousse au milieu des autre, il chercha par réflexe une émotion qui ne soit pas à lui dans son crâne. Une chanson ancrée dans son crâne alors qu'il ne l'avait jamais écouté, une irritation qui n'était pas la sienne, un flash-back, un flot de joie ou une marée de tristesse, quelque chose qui soit à Samaël, mais il n'y avait rien. Pour la première fois depuis longtemps le lien était mort, coupé, il était complètement et totalement seul dans sa tête, dans les sentiments, les sensations ou les émotions de quelqu'un d'autre se jouant en fond.
La silhouette rousse se retourna alors que quelqu'un courrait vers lui, et  la situation général grimpa soudainement d'un cran dans l'échelle du sérieux de Lucian.
Il connaissait Samaêl depuis que le mythe avait adopté une apparence plutôt jeune. Il ne s'était jamais demandé comment son physique éphémère pourrait évoluer s'il y avait une linéarité dans l'apparence des mythes, et apparemment il n'y en avait pas besoin parce qu'on lui balançait la réponse au visage sans question.

Ce n'étais pas exactement un Samaël avec quelques décennies de plus, le nez était trop marqué, comme la mâchoire et les pommettes, il y avait cette sensation que le visage de la silhouette rousse avait était travaillé au burin alors que celui de Samaël avait était consciencieusement finit au papier de verre.
S’épancher de façon aussi émouvante sur la tronche de Samaël, vraiment ?
Mais il y avait cette impression que c'était Samaël, et ça allait au-delà qu'une ressemble physique à la fois vague et précise. Comme s'il avait un possible de Samaël sous les yeux. Et si ça concernait le roux, ça le concernait lui aussi.

« Hey ! »

Il tendit le cou en élevant la voix, essayant d'attraper le regard de « Samaël » mais finissant pas décider d'abandonner son trône pour rejoindre l'homme. Comme prévue, un petit bout d'il ne savait quoi vint se planter sous son pied quand il se laissa retomber sur le sol du théâtre, mais rien d'assez douloureux ou gros pour qu'il y fasse attention – et puis au fond avec lui ça n'avait pas d'importance.

Il s'approcha de l'homme roux avec un froncement de sourcil confus sur le visage, ignorant les deux autre pour s'adresser directement à lui.

« Samaël ? »

Son regard tomba malgré tout sur le moustachu à côté du roux. Presque sûr qu'une crise cardiaque dans cette situation ne va que faire dégénérer les choses.
Sans rien demander ou prévenir, envahissant comme toujours, Lucian appuya doucement son index et son majeur sous la mâchoire du moustachu, sentant un poud panique.

« Vous n'avez pas de problème cardiaque rassurez-moi ? »

Dit-il en haussant un sourcil presque indifférent.

Résumé:
Eugène Corbier
Le plus flexible ♕ 2022 // Notre vieux grincheux préféré
https://le-chat-noir.forumactif.com/t903-eugene-et-c-est-touthttps://le-chat-noir.forumactif.com/t905-eugene-derniers-chapitres
Eugène Corbier
Eugène Corbier
Crédits : Doctor Who - BBC
Métier : Bouquiniste et mécène
Second avatar : Event crossforum - Introduction  - Page 2 E0a8ebae80c181b7673d79705c4007cd
# par Eugène Corbier Dim 20 Fév 2022, 20:21
Event cross-forumavec plein d'inconnus

On avait tenté de le rassurer. Puis il y avait eu des mots, beaucoup de mots. Ce n'était pas très clair pour Eugène. Il entendait mais n'écoutait rien. Ses yeux fous regardaient partout autour de lui. A la recherche de son thé, ou de son champagne ? Tout s'embrouillait. Depuis quand était-il revenu à Paris ? Il était en Écosse, avec sa femme. Non, pas avec sa femme. Sa femme était morte depuis belle lurette. Mais il était là-bas, non ? Ou au Chat Noir, peut-être ? Il y passait trop de temps, à ce Chat Noir.

Ce n'est pas raisonnable. Et puis tu bois trop. C'est ce que lui disait la voix d'Alice dans sa tête. Il avait peut-être juste trop bu. De thé ? Il fallait qu'il retrouve sa tasse, elle était dans sa main à l'instant. On le bousculait. Il ne répondait pas. Bien là mais absent. Peut-être parlait-il un peu. A voix basse. A lui-même. Ou à ses mains vides. Quiconque voyait Eugène Corbier à cet instant prendrait ce vieil homme pour un sénile en fin de parcours. Ses connaissances, elles, le regarderaient mais ne verraient pas Eugène Corbier.

On le bousculait un peu trop.

Alice, bien sûr ! Il se mit à tourner sur lui-même, ses yeux exorbités dévisageaient chacun des visages à sa portée. Où était-elle ? Juste à côté, une jeune femme était penchée, ses cheveux bruns cachaient ses traits. Il lui les releva au moment où elle régurgita les restes d'un frites-kebab sur leurs deux paires de chaussures. Il eut un haut-le-cœur bruyant avec elle mais ne s'y attarda pas. Ce n'était pas Alice. Il l'abandonna là et repartit près de ses deux amis... connaissances... individus... dans un « floc-floc » de chaussures humides.

- Vous pensez qu'il y a des places assises au théâtre ?
- Non Roméo ! cria-t-il beaucoup trop fort, comme tiré en sursaut d'un mauvais cauchemar. Je dois retrouver ma tasse, Alice, ma tasse d'Alice. Enfin de thé. Mon thé de... Là !

Il pointa d'un mouvement impérieux la scène un peu plus loin.

- Je la trouverai en regardant de là-haut !

Il regardait alternativement ses amis qui l'accompagnaient avec un grand sourire, gorgé d'espoir. Heureusement qu'ils étaient là euh... Truc et... et Machin.

________________

résumé : Eugène n'accepte pas du tout son nouvel environnement. Il se raccroche au dernier fait réel dont il est certain : une tasse de thé dans la main. Il n'écoute personne et parle plus pour lui-même que pour les autres, tout est décousu. Il cherche Alice comme nouveau point d'ancrage, vomit un peu à cause de son esprit étranger à toute forme d'expérience surnaturelle. Il est attiré par la scène en la jugeant parfaite comme point d'observation pour retrouver son amie.

Romeo Valentine
Invité
Anonymous
Romeo Valentine
# par Romeo Valentine Mar 22 Fév 2022, 04:11
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Univers de base: Via Fabularis
Mythe : sirène
Age : la soixantaine, en paraît vingt-cinq
Nationalité : américain
Travail : animateur de téléphone rose
Particularité(s) : une voix enchanteresse, un charme (sur)naturel, une affinité avec l'eau et une tendance à être très vite déshydraté par temps chaud
Avatar : mukami kou - diabolik lovers

Caractère :
▬ charmeur ▬ imprévisible ▬ adaptable ▬ curieux ▬ moqueur ▬ intuitif ▬ opportuniste

Autre : grand fan de soap operas et de littérature romantique ▬ fait l'idiot en permanence mais ne l'est pas tellement ▬ ne chante plus en public depuis qu'il a perdu l'amour de sa vie

Romeo n'est pas des plus attentifs à la réponse qu'on lui donne. Il la sent qui l'appelle : la scène, avec son rideau mystérieux derrière lequel n'importe quoi pourrait se trouver. Peut-être que c'est là qu'il trouvera les réponses à ses questions – sur l'endroit où ils sont, comment ils ont atterri là. Son regard est comme aimanté dans cette direction, et c'est seulement au prix d'un certain effort de volonté qu'il s'y arrache pour reporter son attention sur  ses interlocuteurs. Par réflexe, l'une de ses mains vient soutenir Yve au moment où ce dernier s'accroche à lui ; et il s'apprête à répondre à la question mais c'est le viel homme qui le devance.

Romeo hausse un sourcil. Décidément, entre celui qui a l'air malade et l'autre qui tient des propos incohérents, ses deux compagnons semblent plutôt mal en point. Et soudain, il comprend. Cette sensation qu'il ressent, un très léger malaise à peine perceptible – il se passe quelque chose de magique ici, et de toute évidence, cela affecte tout le monde.

"Vous savez quoi, mon cher ?" dit-il en s'adressant à Eugène, un large sourire aux lèvres. "Vous avez parfaitement raison ! Je suis certain que ce que nous cherchons se trouve derrière le rideau. Allons-voir, si vous le voulez bien, messieurs... ?"

Car si lui s'est présenté, les deux autres n'ont pas daigné lui répondre. Romeo ne s'en offusque pas, après tout, cette situation doit être un peu perturbante pour eux. Les réactions des humains au surnaturel sont parfois... amusantes. Bien que l'odeur de vomi ne soit pas ce qu'il préfère, soyons francs.

"Oh, et en effet, il ne semble pas y avoir de place assise ici, mais n'hésitez pas à vous appuyer sur moi," qu'il ajoute en se tournant cette fois vers Yve. "Je peux être votre deuxième canne, si vous voulez."

Il appuie ses propos d'un clin d'œil qui peut passer inaperçu si on n'y prête pas attention, car il a comme souvent un œil à moitié dissimulé derrière ses mèches blondes. Cependant, pas besoin de remarquer ça pour déceler le sous-entendu dans ses propos. Visiblement, ce n'est pas être téléporté dans un endroit inconnu qui va empêcher Romeo de flirter avec la première personne qu'il croise.



résumé: romeo a trèèès envie d'aller regarder derrière le rideau mais il prend le temps de répondre à eugène, qu'il encourage dans son idée d'aller voir la scène ; et offre son aide à yve si celui-ci le souhaite, en le draguant un peu au passage, juste parce qu'il peut

Leön Moltchaline
Meilleure Fonda ♕ Hyperactif ♕ Triplette ♕ 2022 // Mout-A-La-Ligne
https://le-chat-noir.forumactif.com/t37-leon-it-s-all-about-fiding-the-calm-in-the-chaos#45https://le-chat-noir.forumactif.com/t45-leon-eyes-ears-wide-open#55https://le-chat-noir.forumactif.com/t201-molt-leon#2043
Leön Moltchaline
Leön Moltchaline
Pronom(s) hrp : elle
Crédits : Megumi Fushiguro + irl Manu Rios, merci à Pompon, Mad & Marie pour les avatars ♥
Métier : Musicien d'ambiance (guitare, piano) dans la Troupe du Chat Noir
Naissance : 07/07/1997
Second avatar : ♥
# par Leön Moltchaline Mer 23 Fév 2022, 18:44


Univers de base: LCN
Age : 24 ans
Nationalité : Franco-russe
Travail : Musicien et chanteur au Chat Noir
Particularité(s) : /
Avatar : Dessin par CupOfTea

Caractère : positif ▬ altruiste ▬ droit ▬ sérieux ▬ volontaire

Autre : a effectué son service militaire en Russie avant de rejoindre la France ; très investi au cabaret ; essaye de se remettre à chanter après un trauma ; adore les chats.




Les mains des deux autres laissent une sensation de chaleur sur sa peau, ils ne sont pas entrain de rêver. Leön fronce les sourcils, grimace sous le léger mal-être qui le prend. Antoine a l'air mal en point aussi, le brun s'empresse de prendre son bras et de scruter son regard.

- Moi ça va, un peu le vertige aussi. Antoine dis-nous comment tu te sens.

Son air inquiet laisse place à un haussement de sourcil perplexe lorsqu'une personne à moitié à poil apparaît soudainement à leurs côtés, appelant Lauren "Samaël" et envahissant sans gêne leur l'espace vital à tous les trois. Bien qu'il cautionne assez peu la présence troublante de l'individu, Leön préfère s'écarter. Il se doute qu'avec plusieurs personnes dans son environnement direct entrain de le presser pour s'enquérir de son état, Antoine risque de se sentir un peu étouffé. Il esquisse donc quelques pas autour du petit groupe, observe la scène étrange qui se déroule autour d'eux, les réactions des uns et des autres. Certains vomissent, d'autres semblent essayer de comprendre, d'autres encore, beaucoup, semblent perdus. En temps normal, il aurait été des premiers à aller vers les autres, à tenter d'aider, à essayer de soulager les plus fragiles de leurs douleurs ou de leurs angoisses. Mais pas ce soir. Il ne se sent pas assez en sécurité pour aider les autres. Il faut d'abord qu'il comprenne.

Soudainement, comme si une mouche l'avait piqué, Leön tourne à nouveau la tête vers l'inconnu envahissant et s'adresse à lui d'un ton sec, le regard ferme.

- Laissez-le respirer.

Sûrement faute à ce malaise qui l'a pris depuis quelques minutes, il a mal à la tête, ça le rend désagréable. Pendant quelques secondes, il appuye la paume de sa main sur son front pour tenter de soulager la douleur, en vain. Gardant un oeil sur eux, il dirige ensuite son attention sur la scène au lourd rideau rouge. Plusieurs personnes s'y semble s'avancer vers elle, d'autres la scrutent, comme lui. Comme s'ils étaient tous persuadés qu'ils n'auraient qu'à pousser le rideau et s'enfoncer dans le noir de l'autre côté, pour que tout revienne à la normale. Oui, c'est ça, il en est persuadé. Il faut tous qu'ils avancent dans cette direction.

- Antoine, Lauren - il ne fait aucun cas de la présence de l'autre - prenons de la hauteur, je pense que nous ferions bien de monter sur scène.

Une nouvelle fois il se tourne vers eux, se demande s'ils accepteront de le suivre et surtout si Antoine sera en mesure de le faire. Et aussi si ce drôle d'énergumène au caleçon sale va les suivre aussi.



résumé : Leön s'inquiète de l'état d'Antoine mais à la venue de Lucian il préfère s'écarter pour laisser de l'air à Antoine (et aussi parce qu'il fait pas trop confiance à l'individu en caleçon...). Il pense à aider les autres mais ne se sent pas suffisamment bien pour ça, il a mal à la tête et ne comprend pas ce qu'il se passe.
Il a visiblement des sautes d'humeur et demande sèchement à Lucian de lâcher Antoine avant de proposer à Antoine et Lauren de monter sur scène.


Invité
Invité
Anonymous
Invité
# par Invité Lun 28 Mar 2022, 16:14


Univers de base: LCN
Age : 47 ans
Nationalité : Française
Travail : Illusionniste au Chat Noir
Avatar : Dessin par CupOfTea

Caractère : Boheme ▬ bienveillant ▬ rationnel ▬ mélancolique


Silence, Dark Piano

Ce n’est pas qu’une question de nausée ou de tête qui le lance .
De seconde en seconde, le mal est plus profond, impérieux, global. Il lui englue tout le corps, ploie son échine, serre son coeur, met à vif ses nerfs et tout ses sens et  lui donne envie de haïr et de détruire, de réduire au mutisme les voix agitées et pressantes qui vrombissent autour de lui comme le déplacement insupportable de moustiques .  

“ Antoine ?T'as l'air mal, ça va ? ”
“ Vous n'avez pas de problème cardiaque rassurez-moi ? “
“ Antoine dis-nous comment tu te sens.”

Trop de questions alors que sa pensée s’embrouille, que sa bouche est pâteuse, sa langue muette et que les seules choses qui lui viennent à l’esprit sont les injures coincées dans sa tête .

Que ces putains de voix se la ferment

Il ne veut plus rien entendre. Ni leurs piaillements . Ni la rumeur alentour qui sature ses oreilles.

Il ne veut plus rien sentir . Ni leurs haleines chargées d’alcool. Ni l’odeur âcre et acide de vomi dont les effluves remplissent la salle.

Il ne veut plus rien voir ou ressentir Ni les lumières éblouissantes qui traversent ses paupières closes et brûlent sa rétine, ni le courant d’air provenant de derrière le rideau de la salle et qui glace son épiderme.

Il frissonne, ne supporte plus tout ça, aimerait n’être plus ancré à rien et alors qu’il s’apprête à crier de rejet face à tous ces doigts qui s’octroient le droit de le toucher et qui sont comme les pattes d’un cafard sur sa peau, une voix intervient .

- Laissez-le respirer.

C’est Leön qui a parlé, a exprimé la pensée du magicien, comme par télépathie.
Ce qui surprend davantage Antoine c’est qu’il reconnaît son timbre du chanteur de façon très claire alors que les sons lui étaient l’instant d’avant brouillés et amalgamés, que les autres voix continuent à être un bourdonnement à ses oreilles  .

Leön est comme une bouée pour lui et sous la proposition du jeune homme, Antoine se redresse à peine, tend son bras vers l’ami pour qu’il le saisisse et l’aide à se relever et marcher .

“Tu…”

Il souffle avec difficulté .

“As raison…”

Lui aussi le ressent derrière le mal-être qui le terrasse .
Ils doivent aller là-bas .

“ Tu… penses… que ça… a…”

Son visage se déforme sous la douleur .

“ Un… lien… avec notre… se…cret? ”

ça ne peut être que ça.




Résumé:
Invité
Invité
Anonymous
Invité
# par Invité Dim 03 Avr 2022, 13:44


Univers de base: LCN.
Age : 42 ans.
Nationalité : Algéro-français.
Travail : Chômeur. Ex-assistant magicien. Ex à peu près tout ce qui est dans le spectacle.
Particularité(s) : Gothique jusqu'à l'os, fabuleusement roux, fabuleusement bien habillé, vegan écolo & militant, légèrement porté sur la bouteille.
Avatar : Crowley — Good Omens || [IRL] David Tennant.

Caractère :
▬ Désabusé.
▬ Têtu.
▬ Râleur.
▬ Empathique malgré lui.
▬ Faux confiant.

Autre : Artiste raté sans talent particulier, il a passé 20 ans de sa vie dans le milieu du spectacle. Ne lui faites jamais écouter Je M'Voyais Déjà, c'est l'histoire de sa vie. Il a des tendances dépressives mais lutte contre par la pure force de sa volonté.





Nouvel An
Où suis-je ?
Okay, okay... Antoine a vraiment pas l'air dans son assiette, et il ne voyait pas comment l'aider dans l'immédiat. Son aspirine de secours était dans son sac, à l'entrée de la boîte de nuit...

Un tour d'horizon le fait remarquer que le magicien est loin d'être un cas isolé; plein de gens semblent mal en point, et son propre mal de tête ne s'atténuait pas. Bon sang mais c'est quoi cet endroit ? La panique commence sérieusement à monter; il n'aime pas ça, il lui faut des réponses et vite—

« Hey ! »

La voix le sort de ses pensées, et il se fige. L'acoustique inhabituelle du théâtre doit lui jouer des tours, hein ? Oui, évidemment, y avait aucune raison pour qu'il soit là...

...Debout de toute sa grandeur, les cheveux toujours aussi noirs, le regard luisant, et le jugeant de bas en haut. Et en parlant de juger, Lauren a du mal à coller la tête au corps. Un survêt ? Là c'est vraiment la Quatrième Dimension. Il se permettrait un vil ricanement s'il ne le voyait pas venir vers lui.

Merde. Il s'approche. Merde merde. Son cœur s'emballe, sa respiration coupe, il frissonne et se sent déjà suer. C'est pas pour rien qu'il s'est tenu loin de lui dans la soirée, il a le don de lui retourner le cerveau rien que par sa présence. Fallait qu'il trouve une excuse pour s'éloigner, au moins le temps de retrouver son souffle. Mais il est trop désorienté, il n'a pas le temps.

« Samaël ? »

A nouveau, il s'arrête net, passant par quatre différentes émotions en une seconde. Pardon ? Non genre, Pardon ?? Il, non, pas possible, après tout, tout ce qui s'est passé, il pouvait pas se gourer dans son nom ?! Il le voit s'approcher d'Antoine et aux mots judicieux de Leön, Lauren saisit le bras du grand brun et l'éloigne de deux grandes enjambées.

« J'peux savoir c'que tu fous ici ? Non attends oublie ça. Samaël !? Je sais pas si tu me nargue exprès ou si tu ose me confondre avec un autre de tes exs, mais les deux méritent que j't'envoie chier... » Il ne remarque pas tout de suite qu'il voit flou; il vacille et se retient au bras qu'il n'a toujours pas lâché. Il le serre fort, y enfonçant ses ongles à travers le sweat. « Mais j'ai besoin de savoir... Si t'as une idée de comment on est arrivé ici... Ah— »

Ça bourdonne, ça tambourine dans sa tête, tellement fort qu'il le sent sous sa peau. 'Chier, il sent qu'il est en train de lâcher; tout devient terriblement flou, à part une lueur verte qu'il a l'impression de connaitre et de voir pour la première fois. Il entend vaguement Leön parler, mais ça vient de tellement loin.

« Scène... Brille... Tes yeux ? »

Ce qu'il dit ne tient même plus debout.

Et visiblement, lui non plus.


HYE RI


Résumé:
Lucian Hill
Invité
Anonymous
Lucian Hill
# par Lucian Hill Dim 10 Avr 2022, 16:23
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Univers de base:   Via Fabularis
Age :  Environ 2 000 ans
Nationalité : Française
Travail :  Patron véreux du Label "Noir"
Particularité(s) :  Le Diable en personne, et les pouvoirs qui vont avec
Avatar :  Balord - Demon Slayer

Caractère :
▬ Tyrannique ▬ Amoral ▬ Triste ▬ Protecteur

Autre : C'est un bâtard.



Le troisième gars du trio se sentit obligé de jouer les médiateurs avec un commentaire sec, et Lucian lui glissa un regard désabusé, ses lèvres s'entrouvrant pour un commentaire acerbe avant d'une main ne le tire en arrière.
Il dévisagea Samaël avec un froncement de sourcil courroucé, un sifflement lui sortant d'entre les deux alors qu'il sentait quelque chose se glisser dans son talon sous la traction du roux.

« Qu-... »

Son air d'hiboux fâché devint suspicieux quand le gars commençait à le baratiner avec des histoires de prénoms et d'ex. Sur ce coup, il devait le reconnaître, il c'était planté sur toute la ligne et honnêtement c'était vexant de ne plus être capable de se reconnaître soi-même.

« Ok, désolé mais je crois qu- ! »

Le gars devant lui commença à vaciller, et en écarquilla une énième fois les yeux, Lucian tendit les bras pour le ramener contre lui – et il aurait laissé n'importe qui d'autre s'étaler sur le parquet poussiéreux, mais pas ce gars qui ressemblait à Samaël. 

« Woaw, doucement. »

Son sourcils s'haussa en entendant les marmonnements de  l'inconnu, et il jeta un regard rapidement à la scène avant de revenir sur le grand nez cassé de ce type. Ils avaient du mutuellement se prendre pour quelqu'un d'autre. C'était un peu gros comme histoire, mais en dehors d'une intervention mystique quelconque, c'était tout ce qui tenait la route.

Mais c'était Samaël. Il en était sûr. Quelque chose dans sa tête continuait de le lui dire, même si le type à moitié en train de faire un malaise dans ses bras n'avait rien à voir avec son alter ego et ne semblait même pas vraiment le connaître. Et c'était quelque chose né de la foi humaine, pas d'un instinct ou d'une impression, alors il était sûr que ce roux avait un lien avec Samaël. Il avait jouer dans son sens pour l'instant, mais il devait trouver ce qui déraillait ici.  Peut-être que chaque personne arrivé ici avait été divisé. Mais il n'avait pas l'impression d'être moins complet, et il ne lui semblait pas avoir vu quelqu'un dans la foule lui ressemblant – à lui ou une possible version de lui-même. Peut-être aussi qu'ils venaient tous d'époques différentes – maintenant qu'il y pensait, le sweat qu'on lui avait portait semblait un peu trop sortie de la fin des années 90 – et qu'il tenait une version antérieur ou future de Samaël. Mais pourquoi avoir parlé d'ex...
Ho.
Non.

« Ca va aller, ça va aller.... »

Lucian soupira en posant une main sur la nuque de « Samaël », le gratifiant d'une petite tape condescendante avant de tourner la tête vers les deux autres. Ils n'avaient pas l'air en meilleur état que son roux, mais il faudra faire avec. La seule différence entre lui et eux qu'il pouvait imaginer pour l'instant, c'était qu'il était un mythe et eux des mortels. Même « Samaël », si on suivait son raisonnement, et cette info n'était pas rassurante.

« Est-ce que vous pourriez me donne la date exactement ? Jour, mois, année. C'est un peu urgent alors faites bouger vos neurones.»
Les Delahaye
Le sommet de la chaîne alimentaire
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Les Delahaye
Les Delahaye
Métier : Fondateurs et PDG
Naissance : 16/08/1962
Second avatar : ♥
# par Les Delahaye Mar 12 Avr 2022, 20:47
Intro - Partie 3

Résumé du tour précédent


Groupe 1 : Yve - Eugène - Roméo

Si Roméo se présente, Yve ne le fait pas à son tour, tiquant plutôt sur le fait que le jeune homme blond dit être à Paris. Le boiteux trouve ça étrange et se concentre là dessus jusqu’à voir Elizabeth . Il bouscule alors les deux hommes pour la rejoindre, rassuré et souriant mais aussitôt un anonyme le bouscule et une sensation de malaise le prend.
Il se retient alors à Roméo et à sa canne, demande aux autres s’ils pensent qu’il y a des endroits où s’asseoir dans les loges, derrière la scène.

En parrallèle, Eugène semble déboussollé et se parle à lui-même, cherche sa tasse et Alice (sa collocataire), quitte le groupe pour rejoindre une femme qu’il prend pour Alice, lui relève les cheveux pendant qu’elle vomit sur ses chaussures.
Ecoeuré, il retourne voir Roméo et Yve, crie un grand “non!” à la question d’Yve en se trompant sur son nom, continue à délirer sur la recherche de sa tasse et d’Alice, pointant la scène en du doigt en disant vouloir regarder de là-haut . Il regarde ses deux compagnons avec un grand sourire gâteux.

Mystiquement attiré par la scène, Roméo valide l’idée d’Eugène de monter sur la scène en précisant que ce qu’ils cherchent seraient cependant sûrement derrière le rideau .
Taquin, il propose par ailleurs à Yve d’être sa deuxième canne en lui faisant un clin d'œil.

Groupe 2 : Meryl - Elizabeth
Meryl est très perturbée par Elizabeth, puisqu'elle l'appelle par son nom de mariée, or elle est divorcée depuis 7 ans. Intriguée, Meryl s’approche d’Elizabeth et lui demande comment elle connaît ce nom et surtout si elles se connaissent car meryl a une sensation familière en voyant elizabeth. elle souffre en parallèle de nausées et de migraines et demande finalement à elizabeth ce qu'elle a dans la main.

[HRP à l’attention de Meryl] Elizabeth ne répondant pas et n’ayant pas donné de nouvelles ce dernier mois, je pnjiserai son personnage d’ici deux semaines pour que tu ne sois pas bloquée. Tu pourras donc répondre après cela. Désolé pour la gêne occasionnée . :( ]

Groupe 3 : Lucian - Leön - Antoine -Lauren

Lucian arrive vers le groupe en caleçon et sweat . Il apostrophe Lauren, en l'appelant Samael (l’alter fabularis de Lauren), pensant que c’est celui-ci en  étrangement plus vieux .
En voyant Antoine mal en point, il se détourne néanmoins de Lauren et prend le poul du magicien sans son autorisation, lui demandant s’il est cardiaque .
Etonné de l’étrange arrivée en scène de Lucian, Leon s'écarte puis finit par demander séchement à leur nouvel arrivé de “laisser respirer Antoine” qui semble vraiment mal .
Lauren attrape alors le bras de Lucian et l’éloigne d’Antoine et Leon pour l’engueuler, Lauren pensant que Lucian le confond avec un autre ex . Rapidement, Lauren commence à son tour à se sentir malade et sa vue se trouble, il vacille, demande à Lucian si ce dernier sait comment ils sont arrivés ici avant de faire un malaise, n’entendant pas Leon lui proposer, à lui et à Antoine de monter sur scène pour prendre de la hauteur.
Il n’entend pas non plus Antoine valider avec difficulté l’idée puis demander à Leon si ce dernier pense que cela a un rapport avec leur secret (soit la faille temporelle dans le cabaret du Chat Noir)

C’est par ailleurs Lucian qui rattrape Lauren dans sa chute pour le ramener contre lui et le gratifier d’une petite tape condescendante sur la nuque avant de demander au reste du groupe la date précise du jour .
Lucian soupçonne en effet que les gens viennent d’époques différentes au vu des styles vestimentaires de chacun et du fait que “Samael” semble plus âgé .


A vous de jouer


• Vos échanges continuent . Pas d’ordre de passage .

• Dernier tour de cette introduction, chacun de vos persos, en groupe ou seul, va sur scène et traverse le rideaux .  Votre dernier rp s'arrêtera sur cette action ;)
Pour aller plus vite, vous pouvez PNjiser les personnages des autres avec leur accord .


Bon jeu!


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