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Atanasie Novak
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Wherever you go becomes a part of you somehow | Atanasie N
# par Atanasie Novak Sam 01 Juil 2023, 14:44
Parisien
Atanasie Novak
Autre(s) prénom(s) : /
Surnom(s) : Anesthésie, et ce n’est pas parce qu’il vous endort, c’est simplement à cause d’un prof qui ne savait pas lire, sa mère l’appelle encore comme ça de temps à autre. C’est un peu long mais il répond à « eh, toi, avec la tignasse blanchâtre » — en vrai, il a déjà entendu « poil de coton » et vu comment ça l’a fait hurler de rire il y sera réceptif
Âge : 29 ans, 13 mai 1994
Sexe/genre : Résidu de chromosome Y, cisgenre, il/lui
Nationalité : Moldave, naturalisé français
Métier/occupation : Guide-conférencier au musée du Louvre
Résidence : Un petit appartement dans la commune d’Élancourt
Orientation : Bisexuel et biromantique
Provenance avatar illustré : Jack Frost, Les cinq légendes
Avatar réel : /
Surnom(s) : Anesthésie, et ce n’est pas parce qu’il vous endort, c’est simplement à cause d’un prof qui ne savait pas lire, sa mère l’appelle encore comme ça de temps à autre. C’est un peu long mais il répond à « eh, toi, avec la tignasse blanchâtre » — en vrai, il a déjà entendu « poil de coton » et vu comment ça l’a fait hurler de rire il y sera réceptif
Âge : 29 ans, 13 mai 1994
Sexe/genre : Résidu de chromosome Y, cisgenre, il/lui
Nationalité : Moldave, naturalisé français
Métier/occupation : Guide-conférencier au musée du Louvre
Résidence : Un petit appartement dans la commune d’Élancourt
Orientation : Bisexuel et biromantique
Provenance avatar illustré : Jack Frost, Les cinq légendes
Avatar réel : /
Son prénom se prononce « Ata na ssié ». • Oui, on l’a déjà appelé Anastasie, et ça l’a fait ricaner trois minutes et douze secondes. • Le T9 a tendance à changer son prénom en « euthanasie » ou « sataniste ». • Généralement le Sam des fêtes, il n’a jamais trop aimé boire. • Toutefois, il a l'alcool un peu sardonique. • Quand sa teinture part, Atanasie passe pour un mineur, il flashe alors sa carte d’identité ou son permis de conduire en guise de preuve. • Ce n’est pas rare qu’il se fasse arracher la clope du bec à cause de sa bouille de gosse. • S'amuse à la magie, surtout des tours de cartes et de la disparition/apparition d'objets. • D’après lui-même, s’il s’entraînait plus, il pourrait faire quelques spectacles, ou devenir pickpocket — spoiler il ne fera ni l’un, ni l’autre, mais il n'est vraiment pas mauvais. • Apprends le mentalisme depuis peu, il est mauvais. • Sa mère n’avait que dix-huit ans à sa naissance. • Aime faire des références aux films ou les citer, surtout les dessins-animés. • Marche souvent sur la pointe des pieds. • Joue un peu d’harmonica. • A déjà travaillé dans une maison hantée lors d’un voyage aux États-Unis, et aimerait recommencer. • Ses films d’horreurs préférés sont les slashers. • Suis avec plaisir quelques chaînes YouTube et podcasts sur le genre de l’horrifique. • Parvient presque toujours à éviter le conflit, se battre n’est pas vraiment son délire. • Sur son téléphone il est possible d’y voir, soit des photos et vidéos de sa mère et lui, soit des memes. • Son passe temps c’est de voir à quel point les rumeurs vont vite. • Bien sûr qu’il aime les rumeurs, il est toujours à deux doigts de sortir du pop-corn. • A souvent de quoi grignoter dans sa poche juste pour cette blague. • Utilise des shampoings dix-huit en un, la légende raconte que cela lui fait aussi office de dentifrice. • Non, il n’est pas sale pour autant. • S’amuse un peu trop face à la team premier degré. • Arrêtez, il ne chantera pas Dragostea Din Tei, mais si vous lui en trouvez une autre sans regarder sur internet, celle-là il pourra la chanter. • Lui non plus ne connaît pas les clichés moldaves, ne vous en faites pas. • Sa mère et lui ont une relation assez fusionnelle, et ça a mis à mal certaines de ses relations amoureuses. • Sa couleur cheveux vivait au gré des lubies de sa génitrice, jusqu’à tomber sur le blanc, qu’il affectionne beaucoup. • La première fois qu’il a lâché un « les jeunes », il a eu mal au dos en suivant. • D'une très bonne écoute, il est souvent utilisé comme psychologue de comptoir par ses proches. • Ornithologue intermédiaire. • Son film préféré est La Nuit au Musée. • Chaque année pour son anniversaire, sa mère et lui regardent des vidéos de leurs aventures depuis son enfance. • ...
Description
Attributs physiques
Dans la rue, Atanasie se démarque d’un bon nombre de passant de part sa couleur de cheveux, teinte d’un blanc coton qu’il affectionne tout particulièrement, et lorsqu’il ne renouvelle pas immédiatement sa coloration, des racines châtains foncées font leur apparition, signe que sa tignasse naturelle tentera toujours de reprendre sa juste place. Le blanc n’a pas été sa première teinture, à vrai dire, le moldave est passé par toute une palette de couleur, que sa mère s’amusait à lui barbouiller sur la tête au gré de ses envies du moment, et lui la laissant faire avec complicité, ces moments partagés il ne pourrait jamais les oublier. Malgré les recommandations de sa mère, Atanasie ne prend pas grande attention de ses cheveux, les soins ne lui viennent pas naturellement, ce qui, sans elle, mènerait à une texture rêche et cassante, bien heureusement ce n’est pas le cas, sa crinière plutôt courte reste alors souple et lisse, assez pour rebiquer naturellement.
Les yeux qu’il pose sur le monde sont emprunt d’une douceur qui s’avère infinie, paraissent tout voir, tous les détails qui, usuellement, échappent à qui n’y regarde pas de plus près, et semble sonder l’âme de ses interlocuteurs, car il prête l’entièreté de son attention lorsqu’il est plongé dans une conversation. Les iris, d’un bleu givré envoûtant quiconque s’ose à s’y égarer, sont mis en valeur grâce à sa teinture et ont déjà troublé bien des personnes, car ils restent fixés sur qui monopolise la conversation.
Son visage a perdu toutes traces de l’acnée adolescente, qui, chez le jeune homme, fut très présente, mais conserve une certaine rondeur vaguement enfantine, lui donnant un air d’adolescent lorsqu’il retrouve une couleur de cheveux plus naturelle. Cela ne le gêne pas les trois quart du temps, uniquement lorsqu’une personne tout juste plus âgée que lui se donne le droit de lui enlever une cigarette des mains ou de le sermonner quant à son passage dans un bar. D’autant plus qu’il n’est pas tellement aidé par sa taille, pour un homme de son âge ne pas dépasser le mètre soixante-dix est synonyme de jeunesse, ce qui, sur papier est un compliment, mais la réalité est différemment vécue dans bien des circonstances.
Loin d’être un athlète, le moldave n’est pas du genre à aller courir tous les matins, s’inscrire dans un club sportif ne lui dit rien du tout, toutefois pour garder un bon poids de forme, il se laisse entraîner dans quelques rares séances de course tous les deux ou trois week end, ce n’est pas un grand assidu et trouver une nouvelle excuse devient un challenge à chaque fois — et s’il passait moins de temps à réfléchir à comment se sortir de ces moments, il en trouverait plus pour se motiver à y aller. Ce sera d’ailleurs grâce à cela qu’il parvient à prendre de la couleur sur son épiderme pâle de nature, bronzer n’est pas quelque chose qui lui est facile, et si devenir rouge homard était considéré comme une discipline olympique il obtiendrait la médaille d’or tous les quatre ans.
Au grand dam des personnes qui s’affichent avec lui, Atanasie n’attache pas d’importance du tout à son style vestimentaire, c’est véritablement le cadet — ou le benjamin pour ce qu’il en pense — de ses soucis. Sa préférence va à ce qui lui est plus confortable qu’à la mode, présentable pour son travail sans faire pingouin ridicule et engoncé dans des fringues trop serrées qui lui iraient au teint. Mal fagoté peut-être mais au moins il n’est pas ruiné en vêtement.
//
Cheveux teintés en blanc, châtain foncés au naturel, ils sont lisses et rebiquent // Des yeux bleus givrés perçant, envoûtant // Carnation pâle, dépourvu de marque et signe distinctif // Mesure un mètre soixante sept, et pèse soixante-quatre kilos // Plutôt fin, pas vraiment musclé car peu sportif // Bouille d’adolescent, fait plus jeune sans sa teinture // S’habille comme un sac, proprement mal fringué, une vraie catastrophe stylistique
Les yeux qu’il pose sur le monde sont emprunt d’une douceur qui s’avère infinie, paraissent tout voir, tous les détails qui, usuellement, échappent à qui n’y regarde pas de plus près, et semble sonder l’âme de ses interlocuteurs, car il prête l’entièreté de son attention lorsqu’il est plongé dans une conversation. Les iris, d’un bleu givré envoûtant quiconque s’ose à s’y égarer, sont mis en valeur grâce à sa teinture et ont déjà troublé bien des personnes, car ils restent fixés sur qui monopolise la conversation.
Son visage a perdu toutes traces de l’acnée adolescente, qui, chez le jeune homme, fut très présente, mais conserve une certaine rondeur vaguement enfantine, lui donnant un air d’adolescent lorsqu’il retrouve une couleur de cheveux plus naturelle. Cela ne le gêne pas les trois quart du temps, uniquement lorsqu’une personne tout juste plus âgée que lui se donne le droit de lui enlever une cigarette des mains ou de le sermonner quant à son passage dans un bar. D’autant plus qu’il n’est pas tellement aidé par sa taille, pour un homme de son âge ne pas dépasser le mètre soixante-dix est synonyme de jeunesse, ce qui, sur papier est un compliment, mais la réalité est différemment vécue dans bien des circonstances.
Loin d’être un athlète, le moldave n’est pas du genre à aller courir tous les matins, s’inscrire dans un club sportif ne lui dit rien du tout, toutefois pour garder un bon poids de forme, il se laisse entraîner dans quelques rares séances de course tous les deux ou trois week end, ce n’est pas un grand assidu et trouver une nouvelle excuse devient un challenge à chaque fois — et s’il passait moins de temps à réfléchir à comment se sortir de ces moments, il en trouverait plus pour se motiver à y aller. Ce sera d’ailleurs grâce à cela qu’il parvient à prendre de la couleur sur son épiderme pâle de nature, bronzer n’est pas quelque chose qui lui est facile, et si devenir rouge homard était considéré comme une discipline olympique il obtiendrait la médaille d’or tous les quatre ans.
Au grand dam des personnes qui s’affichent avec lui, Atanasie n’attache pas d’importance du tout à son style vestimentaire, c’est véritablement le cadet — ou le benjamin pour ce qu’il en pense — de ses soucis. Sa préférence va à ce qui lui est plus confortable qu’à la mode, présentable pour son travail sans faire pingouin ridicule et engoncé dans des fringues trop serrées qui lui iraient au teint. Mal fagoté peut-être mais au moins il n’est pas ruiné en vêtement.
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Cheveux teintés en blanc, châtain foncés au naturel, ils sont lisses et rebiquent // Des yeux bleus givrés perçant, envoûtant // Carnation pâle, dépourvu de marque et signe distinctif // Mesure un mètre soixante sept, et pèse soixante-quatre kilos // Plutôt fin, pas vraiment musclé car peu sportif // Bouille d’adolescent, fait plus jeune sans sa teinture // S’habille comme un sac, proprement mal fringué, une vraie catastrophe stylistique
Personnalité
Rentrer dans la vie d’Atanasie c’est s’exposer à quelqu’un qui se pointera au beau milieu de la nuit avec une couverture, une glace et un bon film pour une grande dose de réconfort, ou bien c’est être écouté attentivement souvent suivi d’un bon conseil pour la situation, voire subir une farce gentillette, qui fait toujours rire — du moins sourire dans le pire des cas. Car Atanasie est un grand frère qui s’ignorait pendant des années, rêvant d’une fratrie qui ne lui sera jamais offerte et récupérant une famille choisie qu’il aime plus que tout au monde, pour qui il pourrait déplacer des montagnes, à qui il n’hésitera pas à faire des remontrances si nécessaire, qu’il protégerait avec tout ce qu’il a.
Un être de gentillesse qui travaille tous les jours pour le rester, pour ne pas retomber dans ses travers de jeunesse, ceux qui donnaient de l’inquiétude à sa mère, le seul lui restant est la cigarette qu’il s’autorise quelques fois par semaine, qu’il ne cherche pas à arrêter, pas pour le moment du moins, un jour peut-être, si sa santé le demande. Dans les moments de vague rechute, il serre les dents — si fort qu’il a déjà eu des courbatures dans la mâchoire —, range ses mains dans ses poches et offre un sourire crispé, le regard qui lance des éclairs, le tout en inspirant doucement. Atanasie n’a pas été un adolescent colérique, ni même réellement violent, mais il s’était retrouvé dans des situations où, effectivement, il commençait des bagarres, chaque fois que sa mère était mentionnée, il ne supporte toujours pas qu’on parle en mal d’elle et ne le tolère jamais, seulement il a appris à se défendre avec des mots et remarques acerbes.
Sa relation avec sa mère est fusionnelle, n’ayant qu’elle depuis le tout début de sa vie, iels se sont construit un petit cocon indestructible ; grandir seul avec elle a grandement façonné Atanasie, il est ce qu’on appelle un fils à maman et ne s’en cache pas, ni n’en a honte, elle est sa confidente, la personne vers qui il se tournera toujours lorsqu’il est confronté à des problèmes, peu importe lesquels. Cela a déjà détruit certaines de ses relations amoureuses, de bien tristes fins, qu’il ne parvient pourtant pas à regretter, lui demander de choisir entre saon partenaire et sa mère c’est devoir s’attendre à ce qu’il choisisse cette dernière, sans sourciller une seule seconde.
Petit, Atanasie se retrouvait souvent dans les pattes de sa mère lorsqu’elle travaillait et ne pouvait le faire garder, alors il l’observait en silence, des fois dans un coin, d’autres collé à elle, mais toujours sage, pour ne pas attirer d’ennuis, sa mère lui expliquait ce qu’elle faisait, lui parlait de ses collègues, des clients quand il y en avait dans son travail, lui montrait un monde qu’il ne connaissait pas encore, des êtres de tous horizons, et cela enracina fortement son observation du monde, le regard et l’attention qu’il y porterait, faisant de lui un fin analyste. Toutefois, cela développa aussi son côté commère, être attentif aux ragots, se montrer indiscret par des questions ou simplement en écoutant aux portes, tout un monde qu’il pouvait partager avec sa mère, et dont il ne connaissait pas encore la limite ; elle se tracera plus tard, quand il comprit l’importance du jardin secret — même si, parfois, respecter cela lui est difficile, et ainsi, de ses tréfonds, remonte ce gros défaut.
L’envie de voyage est quelque chose qui lui a été transmis par sa mère, découvrir de nouveaux horizons, de nouvelles cultures, de nouvelles personnes, c’est dans ses veines, dans son sang, dans sa nature, un besoin qui lui semblait vital plus jeune, dont il rêvait chaque soir, à chaque instant ; et trois ans sur les routes du monde lui suffirent à réaliser qu’avoir un endroit où il pouvait rentrer sans devoir trop le prévoir n’était pas si mal, un chez soi était une véritable bénédiction, son petit cocon lui est confortable et il ne désire, pour le moment, pas repartir.
Sa carrière de magicien a commencé tôt dans son enfance et ne l’a jamais réellement quitté, son rêve de monter sur scène avec les plus grands, faire le tour du monde pour montrer ses talents se sont endormis en grandissant, laissant place à une carrière plus réaliste qui le passionne tout autant, sans pour autant oublier ses racines. Les tours de carte, la disparition et apparition d'objets et quelques autres tours d’illusions font toujours partie de son quotidien, il ne laissera jamais tomber, c’est autant dans ses veines que l’envie de voyager ou l’histoire et les arts. Malgré son grand sens de l’observation, Atanasie n’est pas encore capable de réaliser un tour de mentalisme sans rater quelque part, c’est bien pour cela qu’il n’en parle pas à d’autres personnes que son cercle très proche, s’entraînant principalement sur elleux, en espérant sincèrement ne pas les agacer.
La carrière de guide-conférencier est sortie d’à peu près nul part, le moldave a toujours aimé se rendre dans les différents musées de Paris, s’incruster dans les groupes touristiques, écouter les guides leur parler de ce qui était sous leurs yeux et lire les panneaux d’informations, cela l’émervaillait mais concevoir une profession dans ce monde là ne lui effleura pas l’esprit avant l’année de son bac — ce qui aurait pu inquiéter sa mère quand à son absence d’idée de métier mais n’a pas été le cas, un soulagement pour lui. Atanasie s’épanouit grandement dans cette occupation, passer des heures à effectuer des recherches pour les expositions temporaires n’est en aucun cas un problème pour lui, il trouve toujours un plaisir d’apprendre de nouvelles choses.
//
Se retrouve à distribuer beaucoup de conseil, trop même des fois // Psychologue de comptoir pour ses proches — et moins proches parfois // Ment très mal, et ne s’y essaye pas beaucoup // Aime faire des farces bénignes, quand il est sûr que cela fera rire tout le monde, surtout lae/les concerné.es // Un vrai grand frère, en bien comme en mal // Toujours présent pour les autres, dans les bons comme mauvais moments // Vraiment trop serviable // Mais ne se laisse plus marcher sur les pieds // A appris à dire non assez tard // La famille c’est ce qui compte le plus // Et il se la construit comme il le désire, n’en déplaise aux rageuxes // Du genre pacifique // Fils unique qui aurait voulu une fratrie // Adore vraiment les rumeurs, c’est une véritable commère — il essaye de pas être trop intrusif mais des fois c’est plus fort que lui // Mi-globe-trotteur, mi-casanier, un paradoxe étrange // Très bon observateur, il repère facilement les micros expressions — ce qui est ironique sachant qu’il n’est pas bon en mentalisme // S’autorise à rêver d’une carrière de magicien deux ou trois fois par an, même s’il aime vraiment son métier au musée // Ne parle jamais de son père, de sa famille ou celle de sa mère // Met un point d’honneur à s’assurer que les personnes avec qui il fait la fête rentre sain.e et sauf.ve chez elleux, et s’il faut qu’il les ramène lui-même, il le fera, que ça lui prenne la nuit ne le dérange pas // Sauf s’il boit, ce qui lui arrive rarement, surtout qu’il se sait avoir une tendance sarcastique après
Un être de gentillesse qui travaille tous les jours pour le rester, pour ne pas retomber dans ses travers de jeunesse, ceux qui donnaient de l’inquiétude à sa mère, le seul lui restant est la cigarette qu’il s’autorise quelques fois par semaine, qu’il ne cherche pas à arrêter, pas pour le moment du moins, un jour peut-être, si sa santé le demande. Dans les moments de vague rechute, il serre les dents — si fort qu’il a déjà eu des courbatures dans la mâchoire —, range ses mains dans ses poches et offre un sourire crispé, le regard qui lance des éclairs, le tout en inspirant doucement. Atanasie n’a pas été un adolescent colérique, ni même réellement violent, mais il s’était retrouvé dans des situations où, effectivement, il commençait des bagarres, chaque fois que sa mère était mentionnée, il ne supporte toujours pas qu’on parle en mal d’elle et ne le tolère jamais, seulement il a appris à se défendre avec des mots et remarques acerbes.
Sa relation avec sa mère est fusionnelle, n’ayant qu’elle depuis le tout début de sa vie, iels se sont construit un petit cocon indestructible ; grandir seul avec elle a grandement façonné Atanasie, il est ce qu’on appelle un fils à maman et ne s’en cache pas, ni n’en a honte, elle est sa confidente, la personne vers qui il se tournera toujours lorsqu’il est confronté à des problèmes, peu importe lesquels. Cela a déjà détruit certaines de ses relations amoureuses, de bien tristes fins, qu’il ne parvient pourtant pas à regretter, lui demander de choisir entre saon partenaire et sa mère c’est devoir s’attendre à ce qu’il choisisse cette dernière, sans sourciller une seule seconde.
Petit, Atanasie se retrouvait souvent dans les pattes de sa mère lorsqu’elle travaillait et ne pouvait le faire garder, alors il l’observait en silence, des fois dans un coin, d’autres collé à elle, mais toujours sage, pour ne pas attirer d’ennuis, sa mère lui expliquait ce qu’elle faisait, lui parlait de ses collègues, des clients quand il y en avait dans son travail, lui montrait un monde qu’il ne connaissait pas encore, des êtres de tous horizons, et cela enracina fortement son observation du monde, le regard et l’attention qu’il y porterait, faisant de lui un fin analyste. Toutefois, cela développa aussi son côté commère, être attentif aux ragots, se montrer indiscret par des questions ou simplement en écoutant aux portes, tout un monde qu’il pouvait partager avec sa mère, et dont il ne connaissait pas encore la limite ; elle se tracera plus tard, quand il comprit l’importance du jardin secret — même si, parfois, respecter cela lui est difficile, et ainsi, de ses tréfonds, remonte ce gros défaut.
L’envie de voyage est quelque chose qui lui a été transmis par sa mère, découvrir de nouveaux horizons, de nouvelles cultures, de nouvelles personnes, c’est dans ses veines, dans son sang, dans sa nature, un besoin qui lui semblait vital plus jeune, dont il rêvait chaque soir, à chaque instant ; et trois ans sur les routes du monde lui suffirent à réaliser qu’avoir un endroit où il pouvait rentrer sans devoir trop le prévoir n’était pas si mal, un chez soi était une véritable bénédiction, son petit cocon lui est confortable et il ne désire, pour le moment, pas repartir.
Sa carrière de magicien a commencé tôt dans son enfance et ne l’a jamais réellement quitté, son rêve de monter sur scène avec les plus grands, faire le tour du monde pour montrer ses talents se sont endormis en grandissant, laissant place à une carrière plus réaliste qui le passionne tout autant, sans pour autant oublier ses racines. Les tours de carte, la disparition et apparition d'objets et quelques autres tours d’illusions font toujours partie de son quotidien, il ne laissera jamais tomber, c’est autant dans ses veines que l’envie de voyager ou l’histoire et les arts. Malgré son grand sens de l’observation, Atanasie n’est pas encore capable de réaliser un tour de mentalisme sans rater quelque part, c’est bien pour cela qu’il n’en parle pas à d’autres personnes que son cercle très proche, s’entraînant principalement sur elleux, en espérant sincèrement ne pas les agacer.
La carrière de guide-conférencier est sortie d’à peu près nul part, le moldave a toujours aimé se rendre dans les différents musées de Paris, s’incruster dans les groupes touristiques, écouter les guides leur parler de ce qui était sous leurs yeux et lire les panneaux d’informations, cela l’émervaillait mais concevoir une profession dans ce monde là ne lui effleura pas l’esprit avant l’année de son bac — ce qui aurait pu inquiéter sa mère quand à son absence d’idée de métier mais n’a pas été le cas, un soulagement pour lui. Atanasie s’épanouit grandement dans cette occupation, passer des heures à effectuer des recherches pour les expositions temporaires n’est en aucun cas un problème pour lui, il trouve toujours un plaisir d’apprendre de nouvelles choses.
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Se retrouve à distribuer beaucoup de conseil, trop même des fois // Psychologue de comptoir pour ses proches — et moins proches parfois // Ment très mal, et ne s’y essaye pas beaucoup // Aime faire des farces bénignes, quand il est sûr que cela fera rire tout le monde, surtout lae/les concerné.es // Un vrai grand frère, en bien comme en mal // Toujours présent pour les autres, dans les bons comme mauvais moments // Vraiment trop serviable // Mais ne se laisse plus marcher sur les pieds // A appris à dire non assez tard // La famille c’est ce qui compte le plus // Et il se la construit comme il le désire, n’en déplaise aux rageuxes // Du genre pacifique // Fils unique qui aurait voulu une fratrie // Adore vraiment les rumeurs, c’est une véritable commère — il essaye de pas être trop intrusif mais des fois c’est plus fort que lui // Mi-globe-trotteur, mi-casanier, un paradoxe étrange // Très bon observateur, il repère facilement les micros expressions — ce qui est ironique sachant qu’il n’est pas bon en mentalisme // S’autorise à rêver d’une carrière de magicien deux ou trois fois par an, même s’il aime vraiment son métier au musée // Ne parle jamais de son père, de sa famille ou celle de sa mère // Met un point d’honneur à s’assurer que les personnes avec qui il fait la fête rentre sain.e et sauf.ve chez elleux, et s’il faut qu’il les ramène lui-même, il le fera, que ça lui prenne la nuit ne le dérange pas // Sauf s’il boit, ce qui lui arrive rarement, surtout qu’il se sait avoir une tendance sarcastique après
Histoire
1994 - 2000, les années bonheurs
Le vendredi 13 mai 1994 vit la naissance de bien des enfants, dont Atanasie Novak, dans une clinique d’une ville sans importance pour ce récit, en Moldavie, celle-là même qui avait vu grandir sa mère dans cette famille très religieuse qui l’avait jeté hors de la maison à la révélation de sa grossesse, hors mariage et sans même le père à ses côtés.
Six mois après une vie un peu chaotique à squatter chez des ami.es à elle, travailler comme elle le pouvait pour amasser assez d’argent pour s’enfuir loin de ce pays, le jour tant attendu arriva, et c’est avec son fils sur le dos qu’elle monta dans le train sans se retourner, le sourire aux lèvres.
Trois ans durant, Atanasie et sa mère voyagèrent à travers l’Europe, sans se soucier de quoi que ce soit. Il passa son premier anniversaire sur un bateau en Grèce, le deuxième en Norvège sous une pluie d'étoiles filantes et le troisième en France, pays dans lequel sa mère désirait s’installer définitivement depuis toujours. Chose qui fut assez laborieuse mais se finalisa grâce à l’obtention d’un visa qui lui permettait de travailler sur le territoire, dans une entreprise — l’une des seules qui lui avait répondu sur les très nombreuse qu’elle avait contacté —, qui ne trouvait pas de candidat français pour le poste demandé, les procédures furent longues et ardues puisqu'elle devait renouveler leurs papiers régulièrement, faire des demande de titre de séjour qu'elle obtenait grâce aux différents jobs qu'elle parvenait à se trouver, mais grâce à ses solides bases en français et sa droiture quant aux démarches, rester en France était compliqué mais pas impossible.
Bien qu’il ne garde mentalement aucun souvenir de leurs aventures, les preuves en photos, en vidéos grâce au caméscope de sa mère, ou encore les rares petites babioles achetées ou offertes durant seront, pendant des années, une preuve suffisante pour lui, des opportunités que beaucoup n’auront jamais, pour lesquelles il remercierait toujours sa mère.
Sa première rentrée à l’école maternelle déchira le coeur de sa génitrice et se transmit très vite en lui, le laissant pleurant toutes les larmes de son corps aux pieds de la maîtresse qui tentait tant bien que mal de le consoler, durant les trois dernières années il n’avait presque jamais quitté sa mère, ce qui ne rendait pas la séparation facile du tout. Le midi il lui sauta dans les bras pour babiller dans un moldave encore un peu bancal qu’il avait dessiné et qu’il ne comprenait rien à ce qu’on lui racontait ; elle ne lui parlait qu’en moldave, sachant pertinemment qu’il apprendrait le français à l’école, le rendre bilingue serait un plus dans sa vie, même si le moldave n’était pas aussi connu que bien d’autres langues.
Exactement comme prévu, Atanasie appris en trois années un français enfantin plus que correct grâce à la pratique qu’il était obligé de faire à l’école, pour pouvoir jouer avec ses camarades qui devenaient déjà ses ami.es, comprendre les instructions des éducateurs, qui démontraient une patience infinie avec lui — l’une appris même quelques mots basiques en moldave pour parvenir à mieux lui communiquer certaines marches à suivre.
Six mois après une vie un peu chaotique à squatter chez des ami.es à elle, travailler comme elle le pouvait pour amasser assez d’argent pour s’enfuir loin de ce pays, le jour tant attendu arriva, et c’est avec son fils sur le dos qu’elle monta dans le train sans se retourner, le sourire aux lèvres.
Trois ans durant, Atanasie et sa mère voyagèrent à travers l’Europe, sans se soucier de quoi que ce soit. Il passa son premier anniversaire sur un bateau en Grèce, le deuxième en Norvège sous une pluie d'étoiles filantes et le troisième en France, pays dans lequel sa mère désirait s’installer définitivement depuis toujours. Chose qui fut assez laborieuse mais se finalisa grâce à l’obtention d’un visa qui lui permettait de travailler sur le territoire, dans une entreprise — l’une des seules qui lui avait répondu sur les très nombreuse qu’elle avait contacté —, qui ne trouvait pas de candidat français pour le poste demandé, les procédures furent longues et ardues puisqu'elle devait renouveler leurs papiers régulièrement, faire des demande de titre de séjour qu'elle obtenait grâce aux différents jobs qu'elle parvenait à se trouver, mais grâce à ses solides bases en français et sa droiture quant aux démarches, rester en France était compliqué mais pas impossible.
Bien qu’il ne garde mentalement aucun souvenir de leurs aventures, les preuves en photos, en vidéos grâce au caméscope de sa mère, ou encore les rares petites babioles achetées ou offertes durant seront, pendant des années, une preuve suffisante pour lui, des opportunités que beaucoup n’auront jamais, pour lesquelles il remercierait toujours sa mère.
Sa première rentrée à l’école maternelle déchira le coeur de sa génitrice et se transmit très vite en lui, le laissant pleurant toutes les larmes de son corps aux pieds de la maîtresse qui tentait tant bien que mal de le consoler, durant les trois dernières années il n’avait presque jamais quitté sa mère, ce qui ne rendait pas la séparation facile du tout. Le midi il lui sauta dans les bras pour babiller dans un moldave encore un peu bancal qu’il avait dessiné et qu’il ne comprenait rien à ce qu’on lui racontait ; elle ne lui parlait qu’en moldave, sachant pertinemment qu’il apprendrait le français à l’école, le rendre bilingue serait un plus dans sa vie, même si le moldave n’était pas aussi connu que bien d’autres langues.
Exactement comme prévu, Atanasie appris en trois années un français enfantin plus que correct grâce à la pratique qu’il était obligé de faire à l’école, pour pouvoir jouer avec ses camarades qui devenaient déjà ses ami.es, comprendre les instructions des éducateurs, qui démontraient une patience infinie avec lui — l’une appris même quelques mots basiques en moldave pour parvenir à mieux lui communiquer certaines marches à suivre.
2000 - 2005, les années d'insouciance
Ses six ans arrivèrent tellement vite, qu’Atanasie vit sa mère verser des larmes lorsqu’il souffla ses bougies, entouré de toustes ses copain.es qui chantaient à tû-tête la fameuse chanson, accompagné.es de quelques parents qui étaient resté.es pour aider la pauvre mère célibataire avec cette ribambelle de gosse.
L’école devenait un peu plus compliquée mais l’enfant s’accrochait, donnait autant qu’il le pouvait, voire même plus pour ne pas avoir à trop demander de l’aide à sa mère qui travaillait beaucoup pour pouvoir lui acheter des vêtements ou les mêmes jouets que ses copain.es. Cependant iels apprenaient le français toustes les deux un peu mieux, elle revoyait les fondements de la langue, lui les découvrait pour la première fois ; elle conservait un petit accent, lui le perdait complètement.
Atanasie découvrit la magie peu de temps après, à la télévision, et demanda s’il pouvait lui aussi faire comme ces hommes et femmes, devenir un grand magicien. Dans la semaine suivante, il reçut son premier kit de magie pour enfant, qu’il étudia scrupuleusement avec l’aide de sa mère, jusqu’à ce qu’il parvienne à lire les manuels tout seul. Et il s’entraînait ensuite à parfaire ses tours en les produisant devant sa mère, qui s’émerveillait chaque fois, tout en restant honnête, l’encourageait même s’il se ratait, tout pour qu’il n’abandonne pas quelque chose qui le passionnait.
C’est durant l’année de ses huit ans qu’il visita pour la première fois le musée du Louvre, et tomba amoureux de ce monde, agaça même le guide avec toutes les questions qui lui passaient par la tête, sans même y réfléchir plus que cela — donnant matière à rire à sa mère, qui n’essaya même pas de l’arrêter, elle savait cela impossible. Suite à cela, cette dernière décida de l’amener dans les différents musées de Paris, ainsi que des alentours lors des vacances scolaires, sorties qui plaisaient presque plus que tout à l’enfant — juste après pratiquer la magie.
L’école devenait un peu plus compliquée mais l’enfant s’accrochait, donnait autant qu’il le pouvait, voire même plus pour ne pas avoir à trop demander de l’aide à sa mère qui travaillait beaucoup pour pouvoir lui acheter des vêtements ou les mêmes jouets que ses copain.es. Cependant iels apprenaient le français toustes les deux un peu mieux, elle revoyait les fondements de la langue, lui les découvrait pour la première fois ; elle conservait un petit accent, lui le perdait complètement.
Atanasie découvrit la magie peu de temps après, à la télévision, et demanda s’il pouvait lui aussi faire comme ces hommes et femmes, devenir un grand magicien. Dans la semaine suivante, il reçut son premier kit de magie pour enfant, qu’il étudia scrupuleusement avec l’aide de sa mère, jusqu’à ce qu’il parvienne à lire les manuels tout seul. Et il s’entraînait ensuite à parfaire ses tours en les produisant devant sa mère, qui s’émerveillait chaque fois, tout en restant honnête, l’encourageait même s’il se ratait, tout pour qu’il n’abandonne pas quelque chose qui le passionnait.
C’est durant l’année de ses huit ans qu’il visita pour la première fois le musée du Louvre, et tomba amoureux de ce monde, agaça même le guide avec toutes les questions qui lui passaient par la tête, sans même y réfléchir plus que cela — donnant matière à rire à sa mère, qui n’essaya même pas de l’arrêter, elle savait cela impossible. Suite à cela, cette dernière décida de l’amener dans les différents musées de Paris, ainsi que des alentours lors des vacances scolaires, sorties qui plaisaient presque plus que tout à l’enfant — juste après pratiquer la magie.
2005 - 2010, les années collèges
(et sa seconde)
(et sa seconde)
Visiter le collège donna des vertiges au préadolescent, avec ses nombreux bâtiments, un nombre d'élèves bien plus important que dans son école primaire — quand même plutôt bien remplie —, l’idée d’avoir plus d’un professeur, de devoir changer de classe… La nouveauté ne le réussissait pas tant que cela pour une fois, et il ne put envisager ce futur très (trop) proche qu’après une grande discussion avec sa mère, sur son dernier lieu de travail en date où il l’aidait secrètement.
Atanasie rentra en classe de sixième et retrouva des ami.es de primaire, certain.es dans sa classe, d’autres ailleurs, mais iels pouvaient se retrouver à la récréation, au réfectoire et même dans certaines classes de langues étrangères. Son français se perfectionnait de jour en jour, au point où il pouvait à présent se permettre de corriger sa mère pour des fautes bénignes, d’accord de genre principalement. C’est d’ailleurs cette même année qu’iels commencèrent les démarches pour se faire naturaliser français.es, habitant dans le pays depuis plus de cinq ans, toustes deux pouvaient y prétendre.
La puberté commença son apparition, pour le plus grand malheur de bon nombre d’adolescent, dont Atanasie qui découvrit les joies d’une acné profuse, de sa voix qui faisait des siennes, se brisant dans les pires moments, un passage qui semblait obligatoire mais lui déplu du début à la fin. Toutefois, malgré les boutons qui colonisaient son faciès, ses premières amourettes commencèrent à peu près à ce moment-là, les papillons dans le ventre, les pensées qui s’échappaient, jouer des personnages pour plaire plus et s’attrister de la fin d’une relation qui ne durait pourtant que depuis deux semaines.
Il eut quelques aventures côté violence, car sans qu’il ne comprenne pourquoi, certains de ses camarades s’autorisaient à insulter sa mère de bien des noms, Atanasie pouvait encaisser les insultes à son égard mais pas celui de celle qui le protégeait depuis toujours, il devait défendre son honneur, que ce soit de ses poings ou avec son gros livre d’histoire-géographie. Ce ne fut, toutefois, pas le pire qu’il commis lors de ces années, mais il préfère laisser cela dans un tiroir de son esprit, ne pas trop y jeter un œil sans pour autant oublier, pour ne pas reproduire ces erreurs.
Atanasie rentra en classe de sixième et retrouva des ami.es de primaire, certain.es dans sa classe, d’autres ailleurs, mais iels pouvaient se retrouver à la récréation, au réfectoire et même dans certaines classes de langues étrangères. Son français se perfectionnait de jour en jour, au point où il pouvait à présent se permettre de corriger sa mère pour des fautes bénignes, d’accord de genre principalement. C’est d’ailleurs cette même année qu’iels commencèrent les démarches pour se faire naturaliser français.es, habitant dans le pays depuis plus de cinq ans, toustes deux pouvaient y prétendre.
La puberté commença son apparition, pour le plus grand malheur de bon nombre d’adolescent, dont Atanasie qui découvrit les joies d’une acné profuse, de sa voix qui faisait des siennes, se brisant dans les pires moments, un passage qui semblait obligatoire mais lui déplu du début à la fin. Toutefois, malgré les boutons qui colonisaient son faciès, ses premières amourettes commencèrent à peu près à ce moment-là, les papillons dans le ventre, les pensées qui s’échappaient, jouer des personnages pour plaire plus et s’attrister de la fin d’une relation qui ne durait pourtant que depuis deux semaines.
Il eut quelques aventures côté violence, car sans qu’il ne comprenne pourquoi, certains de ses camarades s’autorisaient à insulter sa mère de bien des noms, Atanasie pouvait encaisser les insultes à son égard mais pas celui de celle qui le protégeait depuis toujours, il devait défendre son honneur, que ce soit de ses poings ou avec son gros livre d’histoire-géographie. Ce ne fut, toutefois, pas le pire qu’il commis lors de ces années, mais il préfère laisser cela dans un tiroir de son esprit, ne pas trop y jeter un œil sans pour autant oublier, pour ne pas reproduire ces erreurs.
2010 - 2012, les années questionnements
Choisir une filière ne fut pas simple, le choix de carrière d’Atanasie était toujours de devenir magicien professionnel, mais d’après tout son entourage il devait obtenir un diplôme autre que le brevet, simplement pour avoir un job à côté avant de réussir à percer — seule sa génitrice croyait réellement en sa capacité de réussir son projet —, et c’est ainsi qu’il atterrit en première littéraire, avec option art plastique.
En parallèle, il obtint un petit travail à temps partiel le week-end dans une supérette non loin de chez lui, où lui et sa mère allaient régulièrement depuis leur installation dans ce quartier des années auparavant. Grâce à l’argent qu’il gagnait, il put aider aux dépenses chez lui, s’offrir quelques cadeaux et alimenter seul son début d’addiction à la nicotine qu’il cachait encore à sa mère, préférant attendre sa majorité pour lui avouer.
Une question lui trottait dans la tête depuis des années : l’identité de son père, il n’avait abordé le sujet qu’une seule fois et n’avait obtenu qu’une réponse à demi voix de la part de sa mère, cet homme n’était pas une bonne personne, et elle lui demanda d’attendre d’être plus grand pour connaître le reste de l’histoire. Chose qui arriva éventuellement, l’année de ses dix-sept ans, Atanasie réclama une véritable réponse, il commençait à ressentir un besoin de connaître ses origines, toutes, pas uniquement celles de la famille Novak, il connaissait leur histoire, de ces parents qui ne désiraient pas le connaître, ni admettre son existence. Du fait de son insistance sur plusieurs semaines, sa mère obtempéra, prête à lui donner les dernières raisons de son départ de Moldavie.
L’histoire ne fut pas simple à raconter comme à écouter ; le récit commença presque comme un conte de fée, un jeune homme et une jeune femme nageaient dans l’amour et la joie malgré la désapprobation de la famille de cette dernière, prévoyaient déjà un futur ensemble, un grand mariage, pleins d’enfants, de rire et voyages, mais le masque tomba à peine quelques mois plus tard, lui baignait dans des histoires louches, mauvaises, très dangereuses, qui ne plaisaient pas à sa dulcinée, elle cherchait à le tirer hors de cela, seulement lui s’y plaisait et ne cherchait pas à quitter ce monde. Ayant seulement dix-sept ans, la jeune femme très amoureuse ne se voyait pourtant pas rester, encore moins lorsqu’elle découvrit sa grossesse, hors de question de mettre au monde un petit être dans cet environnement, et c’est ainsi qu’elle le quitta, précipitamment, avec beaucoup de larme mais sans regret.
Connaître son passé aide pour se construire un bon futur, connaître ses origines aide à comprendre qui l’on est, et grâce aux révélations, Atanasie comprenait bien mieux tous les choix de sa mère, toutes ses remontrances qu’il recevait quant à son comportement colérique, son anxiété face à ses mauvais choix d’ami.es qui le tiraient vers le bas, le poussait à faire des conneries qu’il trouvait cool, alors il se promit de ne jamais s’aventurer sur le chemin sur lequel se trouvait son géniteur.
En parallèle, il obtint un petit travail à temps partiel le week-end dans une supérette non loin de chez lui, où lui et sa mère allaient régulièrement depuis leur installation dans ce quartier des années auparavant. Grâce à l’argent qu’il gagnait, il put aider aux dépenses chez lui, s’offrir quelques cadeaux et alimenter seul son début d’addiction à la nicotine qu’il cachait encore à sa mère, préférant attendre sa majorité pour lui avouer.
Une question lui trottait dans la tête depuis des années : l’identité de son père, il n’avait abordé le sujet qu’une seule fois et n’avait obtenu qu’une réponse à demi voix de la part de sa mère, cet homme n’était pas une bonne personne, et elle lui demanda d’attendre d’être plus grand pour connaître le reste de l’histoire. Chose qui arriva éventuellement, l’année de ses dix-sept ans, Atanasie réclama une véritable réponse, il commençait à ressentir un besoin de connaître ses origines, toutes, pas uniquement celles de la famille Novak, il connaissait leur histoire, de ces parents qui ne désiraient pas le connaître, ni admettre son existence. Du fait de son insistance sur plusieurs semaines, sa mère obtempéra, prête à lui donner les dernières raisons de son départ de Moldavie.
L’histoire ne fut pas simple à raconter comme à écouter ; le récit commença presque comme un conte de fée, un jeune homme et une jeune femme nageaient dans l’amour et la joie malgré la désapprobation de la famille de cette dernière, prévoyaient déjà un futur ensemble, un grand mariage, pleins d’enfants, de rire et voyages, mais le masque tomba à peine quelques mois plus tard, lui baignait dans des histoires louches, mauvaises, très dangereuses, qui ne plaisaient pas à sa dulcinée, elle cherchait à le tirer hors de cela, seulement lui s’y plaisait et ne cherchait pas à quitter ce monde. Ayant seulement dix-sept ans, la jeune femme très amoureuse ne se voyait pourtant pas rester, encore moins lorsqu’elle découvrit sa grossesse, hors de question de mettre au monde un petit être dans cet environnement, et c’est ainsi qu’elle le quitta, précipitamment, avec beaucoup de larme mais sans regret.
Connaître son passé aide pour se construire un bon futur, connaître ses origines aide à comprendre qui l’on est, et grâce aux révélations, Atanasie comprenait bien mieux tous les choix de sa mère, toutes ses remontrances qu’il recevait quant à son comportement colérique, son anxiété face à ses mauvais choix d’ami.es qui le tiraient vers le bas, le poussait à faire des conneries qu’il trouvait cool, alors il se promit de ne jamais s’aventurer sur le chemin sur lequel se trouvait son géniteur.
2012 - 2016, les années clés
Son bac en vue, Atanasie se lança, à la surprise générale, à la recherche d’études supérieures qui le mèneraient à travailler dans un musée, aidé de ses professeurs d’art et d’histoire, la carrière de guide-conférencier lui plût tout particulièrement, lui qui adorait arpenter ces bâtiments pleins d’histoire présentées sous bien des formes, c’était un choix des plus logiques. Abandonner l’idée de devenir magicien professionnel ne lui sembla pas aussi difficile qu’il l’eut pensé, et postuler dans diverses universités et plusieurs cursus différents, espérant être pris l’aida à commencer le deuil du rêve de son enfance.
Avant même de démarrer les épreuves du bac, deux mois avant très exactement, il se lança dans une nouvelle relation avec une camarade de classe sur laquelle il craquait depuis presque trois ans, et qui semblait être tout aussi attirée par lui. Leur histoire ne les empêcha pas de rester concentré sur leur épreuve finale qui marquerait, si tout se passait bien, la fin d’une ère, le départ du lycée pour un monde plus adulte.
Pour Atanasie, l’année 2012 fut marquée, non pas par l’annonce de fin du monde signifiée par les Mayas, mais celle de l’obtention d’un baccalauréat littéraire option art plastique avec mention bien, et l’acceptation à l’école du Louvre, dans le cursus qu’il désirait, ainsi que deux mois de vacances qu’il pourrait passer à se fondre dans cette toute nouvelle relation, qui lui faisait comprendre pour la première fois ce que c’était d’être sincèrement amoureux.
Les deux années suivantes lui demandèrent bien plus de concentration que toutes ses années collèges et lycées réunies, apprendre tant de chose en vue d’une licence professionnelle n’était d’aucun repos, d’autant plus qu’il devait travailler un peu plus pour aider sa mère qui avait décidé de prendre des cours de psychologie à la faculté, en cours du soir, en vue d’un diplôme de psychologue et devait alors sacrifier quelques heures de travail pour cela — très encouragé par son fils, et celle qu’elle appelait déjà sa belle-fille.
L’année de licence professionnelle se passa merveilleusement bien, sans être plus simple pour autant, mais le moldave était enfin dans la préparation de ce qui lui plaisait le plus, et il l’obtint avec bien plus de facilité que son brevet ou son baccalauréat ; la vie professionnelle l’attendait à bras ouvert. Du moins, presque, car il s’agissait d’un terrain qui n’embauchait pas tant que cela, chose dont il était très au courant et c’est comme cela qu’il se retrouva à rester encore un bon moment dans la supérette, à temps plein cette fois-ci, tout en cherchant un endroit pour y aménager avec sa petite-amie.
Seulement, la vie étant telle qu’elle est, une opportunité s’offrit à la jeune femme, quelque chose qui ne pouvait se refuser, et Atanasie l’encouragea avec grâce jusqu’à ce qu’il apprenne qu’elle devrait partir à l’autre bout du monde. Égoïstement il souhaitait la voir décliner l’offre, mais son intégrité l’empêchait de réellement le penser, une relation à distance n’était envisageable ni pour l’un, ni pour l’autre, ainsi la rupture fut inévitable et particulièrement douloureuse ; poussant Atanasie à se focaliser dans son travail actuel jusqu’à trouver dans le domaine qui l’animait.
Avant même de démarrer les épreuves du bac, deux mois avant très exactement, il se lança dans une nouvelle relation avec une camarade de classe sur laquelle il craquait depuis presque trois ans, et qui semblait être tout aussi attirée par lui. Leur histoire ne les empêcha pas de rester concentré sur leur épreuve finale qui marquerait, si tout se passait bien, la fin d’une ère, le départ du lycée pour un monde plus adulte.
Pour Atanasie, l’année 2012 fut marquée, non pas par l’annonce de fin du monde signifiée par les Mayas, mais celle de l’obtention d’un baccalauréat littéraire option art plastique avec mention bien, et l’acceptation à l’école du Louvre, dans le cursus qu’il désirait, ainsi que deux mois de vacances qu’il pourrait passer à se fondre dans cette toute nouvelle relation, qui lui faisait comprendre pour la première fois ce que c’était d’être sincèrement amoureux.
Les deux années suivantes lui demandèrent bien plus de concentration que toutes ses années collèges et lycées réunies, apprendre tant de chose en vue d’une licence professionnelle n’était d’aucun repos, d’autant plus qu’il devait travailler un peu plus pour aider sa mère qui avait décidé de prendre des cours de psychologie à la faculté, en cours du soir, en vue d’un diplôme de psychologue et devait alors sacrifier quelques heures de travail pour cela — très encouragé par son fils, et celle qu’elle appelait déjà sa belle-fille.
L’année de licence professionnelle se passa merveilleusement bien, sans être plus simple pour autant, mais le moldave était enfin dans la préparation de ce qui lui plaisait le plus, et il l’obtint avec bien plus de facilité que son brevet ou son baccalauréat ; la vie professionnelle l’attendait à bras ouvert. Du moins, presque, car il s’agissait d’un terrain qui n’embauchait pas tant que cela, chose dont il était très au courant et c’est comme cela qu’il se retrouva à rester encore un bon moment dans la supérette, à temps plein cette fois-ci, tout en cherchant un endroit pour y aménager avec sa petite-amie.
Seulement, la vie étant telle qu’elle est, une opportunité s’offrit à la jeune femme, quelque chose qui ne pouvait se refuser, et Atanasie l’encouragea avec grâce jusqu’à ce qu’il apprenne qu’elle devrait partir à l’autre bout du monde. Égoïstement il souhaitait la voir décliner l’offre, mais son intégrité l’empêchait de réellement le penser, une relation à distance n’était envisageable ni pour l’un, ni pour l’autre, ainsi la rupture fut inévitable et particulièrement douloureuse ; poussant Atanasie à se focaliser dans son travail actuel jusqu’à trouver dans le domaine qui l’animait.
2016 - 2019, les années d’escapades
Tout plaquer, prendre un avion et partir dans un pays lointain se trouva être la meilleure idée pour se remettre d’une séparation amoureuse, découvrir un nouveau pays, faire des rencontres aussi surprenantes que merveilleuses, apprendre la culture par les locaux, Atanasie comprenait enfin pourquoi sa mère rêvait de voyage depuis très jeune.
Il explora plusieurs pays d’Amérique du Sud pendant un an, travaillant à droite et gauche pour pouvoir subvenir à ses besoins, réalisant enfin comment sa génitrice avait fait lorsqu’il n’était encore qu’un bébé, au moins en partie, car lui n’avait pas de gamin sur les bras, même sage, il trouvait l’idée d’une difficulté sans nom.
L’année suivante il décida de découvrir le continent africain, accompagné de personnes qu’il avait rencontré durant son premier périple, se créant un nouveau groupe sans aucun problème, sa sociabilité l’aidant à cela, certain.es devaient rentrer chez elleux, d’autres revenaient plus tard, il y en avait même qui se greffait au fur et à mesure.
La troisième année l’amena en Asie, le moldave cherchait en priorité les endroits remplis d’histoire, quel que soit le support, bien qu’il ait un petit penchant pour l’art, ce qui l’amenait parfois à travailler dans des musées l’espace de quelques semaines. Toute l’expérience qu’il amassait enrichissait sa culture, sa vision de la vie, son idée du futur.
Il explora plusieurs pays d’Amérique du Sud pendant un an, travaillant à droite et gauche pour pouvoir subvenir à ses besoins, réalisant enfin comment sa génitrice avait fait lorsqu’il n’était encore qu’un bébé, au moins en partie, car lui n’avait pas de gamin sur les bras, même sage, il trouvait l’idée d’une difficulté sans nom.
L’année suivante il décida de découvrir le continent africain, accompagné de personnes qu’il avait rencontré durant son premier périple, se créant un nouveau groupe sans aucun problème, sa sociabilité l’aidant à cela, certain.es devaient rentrer chez elleux, d’autres revenaient plus tard, il y en avait même qui se greffait au fur et à mesure.
La troisième année l’amena en Asie, le moldave cherchait en priorité les endroits remplis d’histoire, quel que soit le support, bien qu’il ait un petit penchant pour l’art, ce qui l’amenait parfois à travailler dans des musées l’espace de quelques semaines. Toute l’expérience qu’il amassait enrichissait sa culture, sa vision de la vie, son idée du futur.
2020 (début) - 2020 (fin), l’année volée
Être obligé de rentrer en France pour des raisons sanitaires, se retrouver enfermé dans un petit appartement parisien, devoir regarder l’horizon sans pouvoir s’y rendre n’avait pas fait parti des projets d’Atanasie, ni de personne à vrai dire, toutefois il se considérait chanceux car il n’était pas seul puisque n’ayant plus de logement à lui depuis son départ, il se retrouvait à squatter chez sa mère, à qui il parla de ses voyages, des rencontres et expérience — alors qu’il l’avait contacté presque tous les trois jours durant ces trois années —, avec qui il trouva des moyens de faire passer le temps en s’amusant, sans passer des heures ou des jours avachi sur le canapé à regarder des séries et films, même s’il insistait régulièrement pour regarder la saga de la Nuit au Musée, rappelant un peu trop ses demandes d’enfance.
Le temps passa, il râlait de voir les gens ne pas respecter les gestes barrières, se targuait de ne pas avoir été touché par le virus, prenait soin de sa mère qui s’épanouissait dans son métier de psychologue et offrait quelques séances gratuites en visioconférence durant ces temps durs.
Cela sembla durer dix ans, mais ne fut en réalité que six mois, avant qu’il ne puisse enfin mettre le pied dehors sans une autorisation, et à présent il attendait avec une certaine agitation de voir les musées rouvrir, de pouvoir envoyer un cv plus rempli qu’à sa sortie d’école, il prendrait son mal en patience, aussi difficile que ce soit.
Le temps passa, il râlait de voir les gens ne pas respecter les gestes barrières, se targuait de ne pas avoir été touché par le virus, prenait soin de sa mère qui s’épanouissait dans son métier de psychologue et offrait quelques séances gratuites en visioconférence durant ces temps durs.
Cela sembla durer dix ans, mais ne fut en réalité que six mois, avant qu’il ne puisse enfin mettre le pied dehors sans une autorisation, et à présent il attendait avec une certaine agitation de voir les musées rouvrir, de pouvoir envoyer un cv plus rempli qu’à sa sortie d’école, il prendrait son mal en patience, aussi difficile que ce soit.
2021 - 2023, les années charnières
La réouverture des établissements touristiques à la fin de 2020 fut une bouffée d’air frais pour tout le monde, et Atanasie put enfin postuler dans le domaine qu’il aimait, où il cherchait à travailler depuis bien des années, son expérience était assez mince, un an et demi en France avant de partir pour trois années sabbatiques, bien qu’il ait exercé son métier dans différents pays, cela n'excédait pas plus de six mois, toutefois il détenait un parcours assez atypique grâce à ses voyages, ce qui lui permis d’être embauché au Louvre, le musée de ses rêves.
C’est dans ces mêmes circonstances qu’il fit la découverte du Chat Noir, grâce à sa mère, qui le tenait d’un patient à elle, un endroit chargé d’histoire et d’art qui ne pouvait que plaire à l’amoureux de ces deux domaines.
C’est dans ces mêmes circonstances qu’il fit la découverte du Chat Noir, grâce à sa mère, qui le tenait d’un patient à elle, un endroit chargé d’histoire et d’art qui ne pouvait que plaire à l’amoureux de ces deux domaines.
2023, le présent
Sa vie française a repris son chemin, il y trouvait enfin du sens, son cœur et son esprit avaient guéri du passé qui l’eut tant fait souffrir et même poussé à partir, il pouvait à présent se poser, profiter d’une vie plus calme, qu’il trouva des plus appréciable, tout en s’octroyant quelques aventures ci et là, Atanasie avait tout de même besoin d’un peu d’aventure dans sa vie nouvellement casanière.
Résumé du personnage : Moldave naturalisé français • Guide-conférencier au musée du Louvre, et psychologue de comptoir • Le Sam des fêtes, l’alcool il préfère ne pas trop y toucher • Le grand frère agaçant mais avec de bons conseils, s’amuse à la magie et joue de l’harmonica, se prétend mentaliste mais est pour le moment mauvais • Très observateur, peu de choses lui échappent
Comment a-t-iel connu le Chat Noir ? Par sa mère, qui en a entendu parler par un de ses patients.
Qu'est-ce qui lui a plu là-bas ? L’ambiance, le côté très historique qui, bien que très moderne, rappelle l’ancien temps, un temps que les moins de cent (quarante-deux) ans ne peuvent pas connaître.
Hors RP
Pseudo : ood, mais vous pouvez m'appeler par le prénom de mon perso, ça me convient aussi!
Pronom(s) : iel/ellui
Autres comptes ? pas pour le moment, mais j’ai déjà des idées, j’ai hésité avec un autre de mes persos, alors ledécès dc sera jamais très loin
Comment as-tu découvert le forum ? de partenaire en partenaire, à la recherche de la petite perle finalement trouvée!
Autre chose ? j’avais dit que je reviendrais il y a de cela mille ans au moins (j’ai vite def été inscrit ici mais suis parti.e en disant que je redébarquerais plutôt vite, ahem-), et me (re)voilà!
la refonte du forum est ultra belle, je suis absolument fan!
Pronom(s) : iel/ellui
Autres comptes ? pas pour le moment, mais j’ai déjà des idées, j’ai hésité avec un autre de mes persos, alors le
Comment as-tu découvert le forum ? de partenaire en partenaire, à la recherche de la petite perle finalement trouvée!
Autre chose ? j’avais dit que je reviendrais il y a de cela mille ans au moins (j’ai vite def été inscrit ici mais suis parti.e en disant que je redébarquerais plutôt vite, ahem-), et me (re)voilà!
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Theo Athenos
Smartphone Addict ♕ 2022 // Princesse + je me suis fait gerber dessus par Billie + John Watson
Theo Athenos
Pronom(s) hrp : elle
Crédits : feedmetrash / 子厷 / 戴辰 / jyundee (dessin) Noah Lance (photo) Awful (code) Pompon / Leah / nerd / Nikky (graphisme)
Métier : Tatoueur ☼ TDS ☾
Naissance : 14/07/1999
Second avatar :
Crédits : feedmetrash / 子厷 / 戴辰 / jyundee (dessin) Noah Lance (photo) Awful (code) Pompon / Leah / nerd / Nikky (graphisme)
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# par Theo Athenos Sam 01 Juil 2023, 15:28
Vazy comment ça se fait trop pas de balancer une fiche comme ça rien que pour qu'on tombe amoureux·euses au bout de 3 mots
Bienvenue à ood et à Anesthésie Au cas où c'était pas clair j'aime beaucoup beaucoup ce que tu nous proposes avec ce perso, il est vraiment très attachant et relatable (moi aussi je suis de 94 et j'ai mal au dos).
Si Atanasie aime les rumeurs je pense il va bien se plaire au Chat Noir, on a déjà les rumeurs sur la PA
Très hâte de lire la suite de ta fiche, bon courage pour la rédaction, et j'espère que tu te plairas bien ici
PS: t'étais ki ?
Bienvenue à ood et à Anesthésie Au cas où c'était pas clair j'aime beaucoup beaucoup ce que tu nous proposes avec ce perso, il est vraiment très attachant et relatable (moi aussi je suis de 94 et j'ai mal au dos).
Si Atanasie aime les rumeurs je pense il va bien se plaire au Chat Noir, on a déjà les rumeurs sur la PA
Très hâte de lire la suite de ta fiche, bon courage pour la rédaction, et j'espère que tu te plairas bien ici
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Leön Moltchaline
Meilleure Fonda ♕ Hyperactif ♕ Triplette ♕ 2022 // Mout-A-La-Ligne
Leön Moltchaline
Pronom(s) hrp : elle
Crédits : Megumi Fushiguro + irl Manu Rios, merci à Pompon, Mad & Marie pour les avatars ♥
Métier : Musicien d'ambiance (guitare, piano) dans la Troupe du Chat Noir
Naissance : 07/07/1997
Second avatar :
Crédits : Megumi Fushiguro + irl Manu Rios, merci à Pompon, Mad & Marie pour les avatars ♥
Métier : Musicien d'ambiance (guitare, piano) dans la Troupe du Chat Noir
Naissance : 07/07/1997
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# par Leön Moltchaline Sam 01 Juil 2023, 16:18
(Re-)bienvenuuuue
Tout comme Theo je risque d'être très curieuse de savoir qui c'était, je préviens
Mais en tous cas bienvenue avec ce tout nouveau personnage qui m'est déjà très sympathique Il n'y a pas encore beaucoup de choses mais j'aime beaucoup la vibe qui s'en dégage et l'avatar. Plein de petits facts intéressants qui donnent envie d'en apprendre davantage sur lui et sa relation avec sa maman aussi
J'espère qu'il se risquera à faire des petits tours de magie et son baratin de psychologue de comptoir ou de mentaliste dans les salons du Chat Noir au cours des soirées, on va bien rigoler
Hâte de lire la suite ! Bon courage pour la rédaction et n'hésites pas si tu as des questions
Tout comme Theo je risque d'être très curieuse de savoir qui c'était, je préviens
Mais en tous cas bienvenue avec ce tout nouveau personnage qui m'est déjà très sympathique Il n'y a pas encore beaucoup de choses mais j'aime beaucoup la vibe qui s'en dégage et l'avatar. Plein de petits facts intéressants qui donnent envie d'en apprendre davantage sur lui et sa relation avec sa maman aussi
J'espère qu'il se risquera à faire des petits tours de magie et son baratin de psychologue de comptoir ou de mentaliste dans les salons du Chat Noir au cours des soirées, on va bien rigoler
Hâte de lire la suite ! Bon courage pour la rédaction et n'hésites pas si tu as des questions
# par Normann K. Schaeffler Sam 01 Juil 2023, 18:36
C'est ce que je lisais, moiOui, on l’a déjà appeté Anastasie, et ça l’a fait ricaner trois minutes et douze secondes.
Enfin bref, hâte de lire ce que tu nous concoctes, ça m'a l'air d'être un perso très complet pour les quelques (nombreuses) précisions dont tu nous as déjà fait part ! Bon courage pour la suite de l'écriture
# par Rhiannon Byrne Sam 01 Juil 2023, 23:50
I like your funny words magic man
Hihi quel garçon magique, et quel personnage intriguant que je trouve déjà très poétique! Lui et Rhi pourront être copains de prénoms imprononçables hihihi
Tous ces petits détails sur lui sont un régal il me tarde d'en savoir plus et de venir toquer à ta porte dans la demie seconde après ton arrivée, oups -
Moi aussi j'ai hésité donc j'aurai un décès euh un DC incessamment sous peu qui se trouve être journaliste historienne de l'art, ils seront certainement amenés à se croiser! Des bisous et bon courage pour la suite <33
Hihi quel garçon magique, et quel personnage intriguant que je trouve déjà très poétique! Lui et Rhi pourront être copains de prénoms imprononçables hihihi
Tous ces petits détails sur lui sont un régal il me tarde d'en savoir plus et de venir toquer à ta porte dans la demie seconde après ton arrivée, oups -
Moi aussi j'ai hésité donc j'aurai un décès euh un DC incessamment sous peu qui se trouve être journaliste historienne de l'art, ils seront certainement amenés à se croiser! Des bisous et bon courage pour la suite <33
Rhiannon parle en b996f2
# par Billie Barrett Dim 02 Juil 2023, 14:06
Bienvenuuue ! Comme je veux être original par rapport aux autres je ferai pas de remarque sur le prénom moi
J'adore les anecdotes autant que l'avatar choisi (#teamdreamworks), j'ai méga hâte de lire la suite, ton personnage a déjà l'air extraordinaire. Sans vouloir te mettre la pression j'en attends beaucoup (joke)
Bon courage pour la suite de ta rédaction ! N'hésite pas à nous contacter si tu as la moindre question
J'adore les anecdotes autant que l'avatar choisi (#teamdreamworks), j'ai méga hâte de lire la suite, ton personnage a déjà l'air extraordinaire. Sans vouloir te mettre la pression j'en attends beaucoup (joke)
Bon courage pour la suite de ta rédaction ! N'hésite pas à nous contacter si tu as la moindre question
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# par Alice Duval Dim 02 Juil 2023, 16:32
Mais c'est que c'est encore un personnage qui va être super cool ça o_o.
Bienvenue !!!!
Bienvenue !!!!
# par Atanasie Novak Jeu 06 Juil 2023, 02:08
Pardon de mon silence de plusieurs jours, je voulais pas revenir sans update, même un minima ma fiche
je suis super lent.e parce que mon temps d'attention s'apparente à celui d'un nuage et que j'ai pas écrit depuis au moins six mille ans, alors ce sera pas mon meilleur travail
Je m'attendais vraiment pas à un tel accueil, vous allez me faire chialer i swear merci beaucoup pour vos mots gentils, vous êtes toustes doux.ce
Théo >> Sache que j'ai hurlé intérieurement (parce que ça dort chez moi, faudrait pas les réveiller) quand j'ai lu ta première phrase, c'est quoi ce compliment qui sort de nulle part??? il fait gavé plaisir mais omg je m'y attendais pas je suis ultra ravi.e qu'Atanasie te plaise déjà du peu que tu as lu (je compatis pour le mal de dos, c'est un calvaire)
Il va vivre pour les rumeurs du cabaret, avec ses biscuits dans ses poches et un sourire en coin
Merci encore!!
ps: j'étais isabella jaioubliésonnom (je lui ai changé mais je me rappelle pas du premier), et j'étais parti.e sans finir ma fiche, enfin les corrections, mais j'vous jure que ça avait rien à voir avec mon départ
Leön >> J'ai vraiment l'impression que votre but est de me faire chouiner avec vos compliments ça me fait vraiment plaisir, j'ai un grand sourire idiot lmao je dois avoir l'air débile
sincèrement j'ai gavé hâte d'écrire sur la relation avec sa maman, j'ai hâte de finir cette fiche pour présenter Atanasie au grand complet!
Il y a des chances qu'il s'essaye à quelques tous dans les salons oui, et faire le psychologue de comptoir c'est sûr, n'importe où même! Peut-être pas du mentalisme tout de suite, ou alors vraiment raté
Merciii!
Normann >> Je suis atterré.e de voir que j'ai écrit "appeté" et pas "appelé" ceci dit, le fait est pas la pour rien, car moi aussi je lisais ça au début lmaooo (puis j'ai lu anesthésie, en vrai c'est moi le prof qui sait pas lire...)
C'est trop gentil, mais il est pas aussi complet que ça, c'est un petit bébé tout neuf (enfin, il a moins de six mois quoi ), toutefois je suis ravi.e qu'il donne l'impression du contraire!! ça prouve que mon talent c'est le brodage et le baratin ptdrrr
Merci beaucoup!!
Rhiannon >> Je me répète mais vraiment tous ces compliments me font vraiment super plaisir, ça me touche tellement ils pourront totalement être poto de prénom que personne sait prononcer du premier coup! (jvais pas mentir, ça a été mon petit plaisir de lui chercher un prénom imprononçable héhéhé)
Pas de soucis, débarque quand tu veux, ma porte sera grande ouverte!!
Héhé, ravi.e de voir que ma blague est reprise, et surtout que ton futurdécès dc ait un métier qui se rapproche de celui d'Atanasie!!
Merciii!!
Billie >> #teamdreamworks (c'était lui ou Harold, pour de vrai)
J'ai pas d'originalité perso alors je vais le redire mais les compliments sont ultra doux et du miel pour les yeux et mon cerveau! par contre le coup de pression il est réel et maintenant je prie pour que le reste de la fiche soit à la hauteur (je sais que c'est une blague, mais je me mets la pression solo )
Merci encore!!
Alice >> c'était le compliment de trop je suis mort.e
Merci beaucoup!!
je suis super lent.e parce que mon temps d'attention s'apparente à celui d'un nuage et que j'ai pas écrit depuis au moins six mille ans, alors ce sera pas mon meilleur travail
Je m'attendais vraiment pas à un tel accueil, vous allez me faire chialer i swear merci beaucoup pour vos mots gentils, vous êtes toustes doux.ce
Théo >> Sache que j'ai hurlé intérieurement (parce que ça dort chez moi, faudrait pas les réveiller) quand j'ai lu ta première phrase, c'est quoi ce compliment qui sort de nulle part??? il fait gavé plaisir mais omg je m'y attendais pas je suis ultra ravi.e qu'Atanasie te plaise déjà du peu que tu as lu (je compatis pour le mal de dos, c'est un calvaire)
Il va vivre pour les rumeurs du cabaret, avec ses biscuits dans ses poches et un sourire en coin
Merci encore!!
ps: j'étais isabella jaioubliésonnom (je lui ai changé mais je me rappelle pas du premier), et j'étais parti.e sans finir ma fiche, enfin les corrections, mais j'vous jure que ça avait rien à voir avec mon départ
Leön >> J'ai vraiment l'impression que votre but est de me faire chouiner avec vos compliments ça me fait vraiment plaisir, j'ai un grand sourire idiot lmao je dois avoir l'air débile
sincèrement j'ai gavé hâte d'écrire sur la relation avec sa maman, j'ai hâte de finir cette fiche pour présenter Atanasie au grand complet!
Il y a des chances qu'il s'essaye à quelques tous dans les salons oui, et faire le psychologue de comptoir c'est sûr, n'importe où même! Peut-être pas du mentalisme tout de suite, ou alors vraiment raté
Merciii!
Normann >> Je suis atterré.e de voir que j'ai écrit "appeté" et pas "appelé" ceci dit, le fait est pas la pour rien, car moi aussi je lisais ça au début lmaooo (puis j'ai lu anesthésie, en vrai c'est moi le prof qui sait pas lire...)
C'est trop gentil, mais il est pas aussi complet que ça, c'est un petit bébé tout neuf (enfin, il a moins de six mois quoi ), toutefois je suis ravi.e qu'il donne l'impression du contraire!! ça prouve que mon talent c'est le brodage et le baratin ptdrrr
Merci beaucoup!!
Rhiannon >> Je me répète mais vraiment tous ces compliments me font vraiment super plaisir, ça me touche tellement ils pourront totalement être poto de prénom que personne sait prononcer du premier coup! (jvais pas mentir, ça a été mon petit plaisir de lui chercher un prénom imprononçable héhéhé)
Pas de soucis, débarque quand tu veux, ma porte sera grande ouverte!!
Héhé, ravi.e de voir que ma blague est reprise, et surtout que ton futur
Merciii!!
Billie >> #teamdreamworks (c'était lui ou Harold, pour de vrai)
J'ai pas d'originalité perso alors je vais le redire mais les compliments sont ultra doux et du miel pour les yeux et mon cerveau! par contre le coup de pression il est réel et maintenant je prie pour que le reste de la fiche soit à la hauteur (je sais que c'est une blague, mais je me mets la pression solo )
Merci encore!!
Alice >> c'était le compliment de trop je suis mort.e
Merci beaucoup!!
# par Quentin Durand Jeu 06 Juil 2023, 10:41
Hellow et bienvenue par ici !
Je vais pas répéter ce que mes comparses ont dit, j'aime bcp déjà ce que je lis. Bon, je sens que je vais galérer avec son prénom (et me faire un plaisir de l'écorcher h24 en rp)
Bon courage pour la suite de la fiche, hâte d'en savoir plus krkr
Je vais pas répéter ce que mes comparses ont dit, j'aime bcp déjà ce que je lis. Bon, je sens que je vais galérer avec son prénom
Bon courage pour la suite de la fiche, hâte d'en savoir plus krkr
What defines a straight man's straight?
Is it the boxer in the briefs or a 12 ounce steak?Mother Mother - Verbatim
# par Atanasie Novak Mar 11 Juil 2023, 04:25
Aaaaahh!! C'est trop gentil
Ah mais ce prénom va être sujet à écorchage je le sens bien venir, ça va me faire beaucoup rire! (Surtout que je suis très à même de faire des fautes )
Merci beaucoup!!
Ah mais ce prénom va être sujet à écorchage je le sens bien venir, ça va me faire beaucoup rire! (Surtout que je suis très à même de faire des fautes )
Merci beaucoup!!
Atanasie vous émerveille en #91C8DD
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